Bonjour, journal ! C'est Mère qui t'as offerts, en voyant que j'aime écrire et que j'aurais besoin de quelqu'un ou de quelque chose à qui me confier lors de ma scolarité. Ton rôle sera d'être mon confident et de garder mon histoire et mes secrets. Cela ne devrait pas être compliqué vu que tu ne parles pas ! Mais avant que je ne te parle de mon histoire, il faut que je me présente.
Je suis Tony, Tony Avery, un Sang-pur. Ce qui veut dire que ma famille ne comporte aucune goutte de sang moldus dans nos rangs. Et c'est très compliqué de n'avoir auprès de soi que des sorciers et de faire partie de l'élite. C'est Père qui me l'a dit : nous sommes considérés comme royal dans la société sorcière, ce qui fait de moi un prince. Oui journal, tu m'as bien entendu ! Un prince et futur héritier des Avery, rien que ça ! Et j'étudie dans un grand château, à Poudlard ! Quoi de mieux pour une personne de sang royal que d'apprendre la magie dans un lieu si majestueux ? Un lieu qui représente toute l'empreinte magique du Royaume-Unis, et encore debout malgré le temps, ce n'est pas rien !
Mais certains ne respectent pas ma position en tant que prince et osent se moquer de ma , je cite, soit disant supériorité sur les sorciers de Sang-Mêlés et les Sang de moldus ! Pire encore : ils m'ont dit que la pureté de mon sang n'influence pas ma puissance en magie et ne fait pas de moi un meilleur sorcier ! Tu te rends compte, journal ?! Comment des personnes ne provenant pas du milieu sorcier peuvent être au même niveau que l'élite ? Impossible et illogique ! Pour leur répondre, je me moque un peu d'eux, de leur lubies et de leur environnement non sorcier. Les Sang de moldus ont peut-être ce qu'ils appellent la technologie, mais pour les sorciers purs de mon rang, la magie coulent dans nos veines depuis des millénaires et n'a jamais été alterné ! Eux, ils arrivent de nulle part et se prétendent au même niveau que la royauté sorcière. Et puis, leur technologie ne fonctionne pas au sein de Poudlard, de toute façon ! Ce n'est pas très « gentil » comme dirait certains, mais l'on ne s'en prend pas à un prince impunément ! Mes moqueries sont aussi portées pour les autres Sang-Pur qui s'amusent à me rabaisser (Crois-moi journal, ce n'est pas facile d'être en compétition avec les autres princes et princesses), bien que je me montre plus clément avec eux. Ils sont de mon rang, après tout. Et Père et Mère me courroucerons, car je dois me montrer digne d'un Avery et ne pas être en froid avec des membres des vingt-huit sacrés. Et comment te dire, journal, que je n'ai pas que cela à faire de subir les remontrances de mes parents !
Et puis, j'aime bien qu'il y ait un peu de rivalité avec les autres, qu'ils soient Sang-Pur ou Mêlé, voir même moldus, mais je suis sûr qu'ils ne seront que de piètres rivaux ! Les pauvres n'ont pas baigné dans la magie depuis leur naissance et ne connaissent rien de notre monde ! En tant que prince, j'aurais presque pitié d'eux et envie de leur enseigner ce que je sais. Je ne supporte pas que ces individus pénètrent dans le monde magique sans rien en connaître !
Tu sais journal, j'aurais voulu aider ces brebis égarées à être moins bête, mais si je leur donne un coup de main, peut-être qu'ils ne pourront plus se débrouiller par leurs propres moyens. Et on n'est jamais mieux servi que par soi même ! De plus, je n'aime pas les gens qui dépendent des autres. Il faut apprendre à se débrouiller seul dans la vie. Les autres ne seront pas toujours pas là pour vous tendre la main !
Et journal, comme tu as pu le remarquer, j'utilise souvent le terme « Sang de moldus » et pas l'autre synonyme pour parler des personnes d'origine moldus. Père et les autres adultes l'emploi souvent, mais je refuse d'utiliser ce terme ! Un prince ne s'abaisse pas à une telle vulgarité !
Il faut que tu saches aussi, journal, que j'aime en apprendre plus sur la magie. Je veux découvrir tous les secrets que la magie nous réserve, en savoir davantage sur les animaux fantastiques et connaître les sorts des plus basiques aux plus redoutables. Aussi (j'espère que Père et Mère ne le sauront jamais), mais je voudrais observer de mes propres yeux le monde des sans magie. Par simple curiosité. Certes, je ne porte pas les moldus dans mon cœur, cependant, on peut au moins reconnaître qu'ils ont réussi à rester en vie durant des siècles grâce à leur … Technologie (même si les sorciers peuvent détruire leur société en un clin d'œil avec des sortilèges puissants, donc nous restons supérieurs). Oui, journal, je suis curieux de leur monde. Après tout, un prince doit bien connaître l'univers qui l'entoure !
Un autre secret, journal, c'est que je suis beaucoup plus gentil avec les animaux et les créatures magiques. Je ne sais pas vraiment pourquoi. Peut-être parce qu'ils m'inspirent une envie de protéger, de prendre soin de ces magnifiques êtres et de voir que l'on vous rend votre gentillesse et votre amour. Je ne saurais m'expliquer, journal. Plus tard, j'aimerais avoir un phénix, symbole du renouveau et de puissance. Je sais que les phénix ne sont pas des créatures faciles à apprivoiser, mais si j'en ai un à mes côtés, les autres sorciers seront obligés de reconnaître que je suis destiné à devenir un grand sorcier. Mes connaissances, couplé à mon statut de Sang-Pur et mon futur compagnon à plume, je sais que je suis destiné à devenir une personne de pouvoir. Un roi parmi les sorciers, faisant raisonner le noms des Avery dans le Royaume-Uni, et pourquoi pas dans le monde ? C'est mon rêve et je ferais en sorte qu'il se réalise !
Deux dernières choses à mon propos, journal : je n'aimes ni attendre, ni obéir ! Je suis un prince, après tout !
RelationUt enim quisque sibi plurimum confidit et ut quisque maxime virtute et sapientia sic munitus est, ut nullo egeat suaque omnia in se ipso posita iudicet, ita in amicitiis expetendis colendisque maxime excellit. Quid enim? Africanus indigens mei? Minime hercule! ac ne ego quidem illius; sed ego admiratione quadam virtutis eius, ille vicissim opinione fortasse non nulla, quam de meis moribus habebat, me dilexit; auxit benevolentiam consuetudo. Sed quamquam utilitates multae et magnae consecutae sunt, non sunt tamen ab earum spe causae diligendi profectae.
Metuentes igitur idem latrones Lycaoniam magna parte campestrem cum se inpares nostris fore congressione stataria documentis frequentibus scirent, tramitibus deviis petivere Pamphyliam diu quidem intactam sed timore populationum et caedium, milite per omnia diffuso propinqua, magnis undique praesidiis conmunitam.
Coactique aliquotiens nostri pedites ad eos persequendos scandere clivos sublimes etiam si lapsantibus plantis fruticeta prensando vel dumos ad vertices venerint summos, inter arta tamen et invia nullas acies explicare permissi nec firmare nisu valido gressus: hoste discursatore rupium abscisa volvente, ruinis ponderum inmanium consternuntur, aut ex necessitate ultima fortiter dimicante, superati periculose per prona discedunt
Nom prénom du personnage
RelationUt enim quisque sibi plurimum confidit et ut quisque maxime virtute et sapientia sic munitus est, ut nullo egeat suaque omnia in se ipso posita iudicet, ita in amicitiis expetendis colendisque maxime excellit. Quid enim? Africanus indigens mei? Minime hercule! ac ne ego quidem illius; sed ego admiratione quadam virtutis eius, ille vicissim opinione fortasse non nulla, quam de meis moribus habebat, me dilexit; auxit benevolentiam consuetudo. Sed quamquam utilitates multae et magnae consecutae sunt, non sunt tamen ab earum spe causae diligendi profectae.
Metuentes igitur idem latrones Lycaoniam magna parte campestrem cum se inpares nostris fore congressione stataria documentis frequentibus scirent, tramitibus deviis petivere Pamphyliam diu quidem intactam sed timore populationum et caedium, milite per omnia diffuso propinqua, magnis undique praesidiis conmunitam.
Coactique aliquotiens nostri pedites ad eos persequendos scandere clivos sublimes etiam si lapsantibus plantis fruticeta prensando vel dumos ad vertices venerint summos, inter arta tamen et invia nullas acies explicare permissi nec firmare nisu valido gressus: hoste discursatore rupium abscisa volvente, ruinis ponderum inmanium consternuntur, aut ex necessitate ultima fortiter dimicante, superati periculose per prona discedunt
RelationUt enim quisque sibi plurimum confidit et ut quisque maxime virtute et sapientia sic munitus est, ut nullo egeat suaque omnia in se ipso posita iudicet, ita in amicitiis expetendis colendisque maxime excellit. Quid enim? Africanus indigens mei? Minime hercule! ac ne ego quidem illius; sed ego admiratione quadam virtutis eius, ille vicissim opinione fortasse non nulla, quam de meis moribus habebat, me dilexit; auxit benevolentiam consuetudo. Sed quamquam utilitates multae et magnae consecutae sunt, non sunt tamen ab earum spe causae diligendi profectae.
Metuentes igitur idem latrones Lycaoniam magna parte campestrem cum se inpares nostris fore congressione stataria documentis frequentibus scirent, tramitibus deviis petivere Pamphyliam diu quidem intactam sed timore populationum et caedium, milite per omnia diffuso propinqua, magnis undique praesidiis conmunitam.
Coactique aliquotiens nostri pedites ad eos persequendos scandere clivos sublimes etiam si lapsantibus plantis fruticeta prensando vel dumos ad vertices venerint summos, inter arta tamen et invia nullas acies explicare permissi nec firmare nisu valido gressus: hoste discursatore rupium abscisa volvente, ruinis ponderum inmanium consternuntur, aut ex necessitate ultima fortiter dimicante, superati periculose per prona discedunt
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RelationUt enim quisque sibi plurimum confidit et ut quisque maxime virtute et sapientia sic munitus est, ut nullo egeat suaque omnia in se ipso posita iudicet, ita in amicitiis expetendis colendisque maxime excellit. Quid enim? Africanus indigens mei? Minime hercule! ac ne ego quidem illius; sed ego admiratione quadam virtutis eius, ille vicissim opinione fortasse non nulla, quam de meis moribus habebat, me dilexit; auxit benevolentiam consuetudo. Sed quamquam utilitates multae et magnae consecutae sunt, non sunt tamen ab earum spe causae diligendi profectae.
Metuentes igitur idem latrones Lycaoniam magna parte campestrem cum se inpares nostris fore congressione stataria documentis frequentibus scirent, tramitibus deviis petivere Pamphyliam diu quidem intactam sed timore populationum et caedium, milite per omnia diffuso propinqua, magnis undique praesidiis conmunitam.
Coactique aliquotiens nostri pedites ad eos persequendos scandere clivos sublimes etiam si lapsantibus plantis fruticeta prensando vel dumos ad vertices venerint summos, inter arta tamen et invia nullas acies explicare permissi nec firmare nisu valido gressus: hoste discursatore rupium abscisa volvente, ruinis ponderum inmanium consternuntur, aut ex necessitate ultima fortiter dimicante, superati periculose per prona discedunt
RelationUt enim quisque sibi plurimum confidit et ut quisque maxime virtute et sapientia sic munitus est, ut nullo egeat suaque omnia in se ipso posita iudicet, ita in amicitiis expetendis colendisque maxime excellit. Quid enim? Africanus indigens mei? Minime hercule! ac ne ego quidem illius; sed ego admiratione quadam virtutis eius, ille vicissim opinione fortasse non nulla, quam de meis moribus habebat, me dilexit; auxit benevolentiam consuetudo. Sed quamquam utilitates multae et magnae consecutae sunt, non sunt tamen ab earum spe causae diligendi profectae.
Metuentes igitur idem latrones Lycaoniam magna parte campestrem cum se inpares nostris fore congressione stataria documentis frequentibus scirent, tramitibus deviis petivere Pamphyliam diu quidem intactam sed timore populationum et caedium, milite per omnia diffuso propinqua, magnis undique praesidiis conmunitam.
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Nom prénom du personnage
RelationUt enim quisque sibi plurimum confidit et ut quisque maxime virtute et sapientia sic munitus est, ut nullo egeat suaque omnia in se ipso posita iudicet, ita in amicitiis expetendis colendisque maxime excellit. Quid enim? Africanus indigens mei? Minime hercule! ac ne ego quidem illius; sed ego admiratione quadam virtutis eius, ille vicissim opinione fortasse non nulla, quam de meis moribus habebat, me dilexit; auxit benevolentiam consuetudo. Sed quamquam utilitates multae et magnae consecutae sunt, non sunt tamen ab earum spe causae diligendi profectae.
Metuentes igitur idem latrones Lycaoniam magna parte campestrem cum se inpares nostris fore congressione stataria documentis frequentibus scirent, tramitibus deviis petivere Pamphyliam diu quidem intactam sed timore populationum et caedium, milite per omnia diffuso propinqua, magnis undique praesidiis conmunitam.
Coactique aliquotiens nostri pedites ad eos persequendos scandere clivos sublimes etiam si lapsantibus plantis fruticeta prensando vel dumos ad vertices venerint summos, inter arta tamen et invia nullas acies explicare permissi nec firmare nisu valido gressus: hoste discursatore rupium abscisa volvente, ruinis ponderum inmanium consternuntur, aut ex necessitate ultima fortiter dimicante, superati periculose per prona discedunt
24 ans, Auror depuis 2 ans. C’est une ex-Gryffondor qui est devenue animagus à ses 16 ans, prenant la forme d’une louve arctique. Elle a pratiqué le Quidditch où elle était très compétitive. Une fois son diplôme en poche, elle a fait une grosse année de voyage autour du monde où elle a rencontré Moon, son loup domestiqué qu’elle fait passé pour un chien loup grâce à sa petite taille. À son retour, elle a passé le concours pour devenir Auror, la loupée la première fois à cause de son gros caractère, mais a réussi la seconde fois. Cela fait donc ainsi 2 ans qu’elle est Auror. Eilea est une personne solitaire, mais lorsque l’on gagne sa confiance, elle devient une amie fidèle et très protectrice. Mais si elle est trahis, c’est la pire rancunière qui puisse exister. Elle n’a pas sa langue dans sa poche, dit toujours tout haut ce qu’elle pense sans filtre et surtout sans y mettre de forme. Eilea a souvent le regard un peu froid, mais lorsqu’elle s’octroie une pause alcoolisée, elle devient un vrai ouragan et profite énormément des festivités. La jeune femme n’aime pas rester les bras croisés, et même si elle analyse rapidement les situations, étant assez perspicace, il lui arrive souvent de réagir très vite, préférant l’action à l’inaction, même si elle a conscience qu’elle aurait dû réfléchir un peu avant. C’est une sportive qui pratique l’art du combat, le tir à l’arc et est passionnée par les armes blanches moldues qu’elle collectionne. Elle est difficilement approchable, car jugée « sauvage » d’où son surnom de « sauvageonne ». Eilea habite dans un petit appartement à Londres qui appartenait avant à ses parents. Malgré son métier d’Auror, cette aventurière des plus curieuses à un certain mépris des règlements quand elle est plongée dans une situation qui la prend aux trippe. En effet, ce n’est pas dans ses habitudes de ne pas aller au bout des choses, bien au contraire ! À savoir, que ses parents ont été tués par des mangemorts. Ainsi, elle ne supporte pas les sang-purs, ou du moins les puristes qui suivent Voldemort, elle veut les détruire à tout prix ! Et ne le cache pas. En ce moment, en voyant que le Lord est revenu, qu'on ne croit pas vraiment à ce retour et qu'on ne fait pas grand-chose, elle s'est faite remarquer une énième fois au Ministère. Heureusement, son oncle qui a certaines relations et qui travaille au Ministère lui a arrangé le coup, mais on lui a fait comprendre que c'était la dernière fois... Eilea est membre de l'Ordre du Phénix comme ses parents avant elle, et en ce moment, elle est clairement en colère et en mode vengeresse.
Je ne vois pas trop quoi te proposer mais sait-on jamais si ma louve t'inspire :3
Eilea Fuller
Membre
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Louve vengeresseJe les aurais. Je sentirai leurs carotides céder sous mes crocs acérés, et gouterai leur sang qu'ils disent si pur.