PRÉNOM(s) & NOM : Joris de Beauvoir DATE DE NAISSANCE & ÂGE : 14/01/1979 ▬ 16 ans. ANNÉE OU MÉTIER : 6ème année ▬ Métier. ORIGINE/CRÉATURE : Sang-Mêlé, de deux parents sorciers. DONS & MALÉDICTIONS : Voyant, de part sa mère qui a le même don. FAMILIER : Un chat (Sacré de Birmanie), Zeus, et une chouette effraie, Maïva. CLUB(S) : Club d'Aide aux devoirs, et club d'Art et de Lecture (il joue du piano et il chante). BAGUETTE : Bois de tilleul argenté, ventricules de dragon, fine et plutôt flexible, 30.5 cm. A l'image du nom du bois qui la compose, elle est de couleur argenté. La lame à un bout d'apparence pointu, le pommeau est un peu plus épais et torsadé. PATRONUS : Il ne sait pas encore le former correctement, mais on devine un hiboux grand duc. ÉPOUVANTARD & RIDIKULUS : Épouvantard : Un Serpent. Il en à une peur bleu. Ridikulus : Un accordéon qui se tend et se détend de façon ridicule.
HORS JEU
PSEUDONYME : MayariMoon. ÂGE IRL : 24 ans (oui, j'ai changé d'age entre temps). AVATAR : Andy Biersack. COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? Je suis un DC x) MAISONS SOUHAITÉES: J'oscille entre Serdaigle et Poufsouffle, à voir ce qu'en pense le choixpeau ! AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ?
Si voldemort avait une fille, elle s'appellerait voldevie.
QUI ES-TU ?500 mots
Il n'est pas parfait. Il le sait. Personne ne l'est de toute façon. Pour autant, il ne pense pas être une personne méchante. Du moins, il ne l'espère pas. Il n'est qu'un jeune homme, sans grande histoire, qui veut juste apprendre et découvrir la vie.
Il ne se considère pas comme meilleur qu'un autre, malgré ses facilités dans certaines matières. Notamment les arts occultes, tels que la divination et l'astronomie. Il paraît qu'il tient ça de sa mère, tout comme ses grands yeux bleus. Beaucoup la prennent pour folle d'ailleurs, mais pas lui. Il sait qu'elle dit la vérité. Sa mère dit toujours la vérité. Ou presque. Parce qu'elle fait des erreurs, ça arrive, mais sa mère est une bonne personne qui ne sait pas mentir à ceux qu'elle aime. Ça, il le sait. Il sait beaucoup de choses. Ou, tout du moins, il comprend et voit beaucoup de choses. Il les ressent, et il fait des connections logiques dans son esprit. Parfois logique pour les autres aussi. Parfois logique seulement pour lui, parce que les autres ne comprennent pas toujours sa façon de penser, ne comprennent pas toujours comment ça raisonne sous cette chevelure noir de jais. Alors, lui aussi passe pour un gars un peu bizarre, bien que pas méchant. C'est comme ça, et il ne s'en formalise pas. Ça ne lui à jamais porté préjudice jusqu'à maintenant. Ou il n'y fait pas attention, du moins.
En dehors de la divination, il aime se livrer à la fabrication de potion, ainsi qu'à diverses expériences dans cette matière. Tout cela au grand damne du professeur de potion, qui ne compte plus le nombre de chaudrons que le jeune homme à déjà fait exploser en voulant faire des potions trop complexe pour lui. Lié à la potion, la botanique fait également partit de ses matières de prédilection, qu'il apprécie, car cela le détend et lui apprends la patience. Curieux, il aime apprendre et comprendre le monde qui l'entoure. Il a plus de mal avec la métamorphose et le vol. Deux matières pourtant fort intéressantes, mais qu'il ne parvient à maîtriser qu'avec plus de difficulté que ses camarades. Pour le premier, ce n'est qu'un simple manque de talent, pense t-il. Il n'y a pas d'autre raison plus spécifique selon lui, car il a beau s’entraîner et faire beaucoup d'efforts, avec cette matière il à du mal. Pour le vol... La situation est plus compliquée, car en partie lié à sa particularité.
Hérité de sa tendre mère, le jeune homme possède le don de voyance. Don ou malédiction, tout dépend du point de vue. Un don pourtant utile dans son projet professionnel, puisqu'il souhaite devenir professeur de Divination, si cela lui est possible. Dans cette optique, il ne lui est pas vraiment permis d'occulter ce petit truc en plus qu'il possède. Pourtant, parfois, il aimerait bien. Car ce don peut lui montrer d'horribles choses, à cause de quoi, il se trouve être sujet aux cauchemars et aux crises d'angoisse. Des moments toujours délicat à gérer, qui peuvent durer de plusieurs minutes à plusieurs heures, et qui l'on plusieurs fois amener à l'infirmerie quand il n'arrive pas à se calmer seul. On comprends donc que ce genre de situation, si elle arrive sur un balai, peut s'avérer catastrophique. Un don qu'il appréhende autant qu'il en a besoin.
Posséder ce don lui a appris l'ouverture d'esprit et la tolérance, ne pas juger les gens sur tel ou tel aspect de leur personne. Il aime ce qui est original, lui-même se considérant comme tel. D'ailleurs, il ne comprend pas les gens qui se permettent de juger ou de critiquer sans connaître. Certes, il peut lui aussi lui arriver d'avoir des à priori, mais il n'aime pas se faire un avis trop rapide et préfère essayer avant de poser un jugement. Joris est du genre à accepter les autres tels qu'ils sont sans préjugé aucun. Puis lui – même est quelqu'un que beaucoup qualifie parfois encore d'atypique, cela souvent à cause de son look, son don ou ses façons de faire. Avec ses tatouages, son corps long et fin, ainsi que son style vestimentaire que certains qualifie de dandy vampirique, il n'échappe pas vraiment aux regards, souvent curieux, de ceux qui le voient pour la première fois. Raison de plus pour lui de faire preuve de ces qualités qu'il souhaite se voir appliquer.
Une personnalité majoritairement calme et joviale, avec un visage plutôt sérieux qui sait pourtant se fendre d'un sourire, Joris se présente plutôt comme un gars sympa sans grande histoire. Il fait partit de ces gens dont on dit que leur gentillesse les perdra. Il est du genre à donner sans compter, sans demander en retour. Certains diront peut-être que c'est de la connerie, ou de la naïveté. Il est, et sera sans doute toujours, un éternel optimiste, voulant croire que le monde peut toujours mieux faire pour s'améliorer. Mais les personnes qu'il peut avoir en face de lui ne sont pas toujours bien intentionnées, profitant parfois de sa gentillesse pour essayer de se servir de lui. Cette grande gentillesse de sa part ne lui a pas toujours été bien retournée, et cela, il l'a appris à ses dépens de nombreuses fois. Attentionné avec les autres, il fait au mieux pour apporter son aide, et tant pis si parfois on le lui rend mal. Cependant, même si certains cherchent à profiter de sa grande gentillesse, il ne faut pas non plus le prendre pour un idiot. S'il y a bien une chose qu'il déteste, c'est qu'on cherche à le faire passer pour plus bête qu'il ne l'est réellement. Trop gentil, il veut bien, mais pas attardé non plus. De même que, s'il n'aime pas qu'on le prenne pour un idiot, il n'aime pas non plus qu'on fasse preuve de violence morale ou physique envers quelqu'un. Il préfère la diplomatie à la violence, se disant que cette dernière n'est pas la solution à tout. À moins de ne pas avoir le choix, il essaiera au maximum de résoudre ses problèmes de façon pacifiste. Selon lui, les mots sont souvent plus efficaces que les coups. Ils peuvent faire plus mal, et ont plus d'impacts. Là où une blessure physique peut disparaître, les mots peuvent rester graver dans la mémoire de celui qui l'a entendu, une blessure morale qui ne partira pas avec autant de facilité.
De nature protecteur, il ne supporte pas de voir qu'on fasse du mal à une femme, ou à une personne plus faible. Ça le révolte. Petit, il a trop de fois vu son père biologique lever la main sur sa tendre mère, et en a garder une triste et terrible image. La douleur, la peur et le désespoir qu'il voyait si souvent dans les yeux de cette femme courageuse continue parfois de le hanter dans son inconscient. Il ne veut plus jamais assister à cela, ne veut plus de cette violence injustifiée.
Le jeu avec les mots fait donc partit des choses qu'il apprécie particulièrement, que ce soit pour la défense ou dans la vie de tous les jours. Le sarcasme notamment, qu'il soit plus ou moins sympathique en fonction de la personne avec qui il parle, et en fonction de son humeur. Utilisé en plaisanterie avec ses proches et ses amis, il peut devenir plus piquant avec ses ennemies, bien qu'il fera en sorte de ne jamais être le premier à lancer les hostilités. Les disputes futiles et inutiles ne l’intéressent pas. Il préfère de loin rire et s'amuser avec ses amis, plutôt que de se prendre la tête et de s'acharner avec ceux qui n'en valent pas la peine à ses yeux. Il préfère se concentrer sur ce qui est important.
Un personnage à la fois original et jovial, calme et curieux, ouvert d'esprit et tolérant, sarcastique et joueur, intelligent, mais trop gentil, quelque peu étrange et qui éveille l’intérêt. Bref, un personnage haut en couleur, avec ses cauchemars et ses angoisses, qui cherche simplement à se faire une place dans un monde parfois injuste, mais au sein duquel l'espoir ne s'est pas encore éteint.
IL ÉTAIT UNE FOIS...750 mots
Trois petites têtes brunes se tenaient devant la porte, oreilles collées au battant pour tenter d'entendre de l'autre côté. Mais trois petites têtes brunes qui ne percevaient rien, et voulurent donc entrer dans la pièce pour y découvrir ce qui s'y cachait. Ils savaient que maman était dedans, car elle s'y réfugiait toujours quand papa avait fini de crier sur elle. Mais pour y faire quoi ? Malheureusement pour eux, ce n'était plus un mystère.
Mais à trois ans, ils avaient beau être trois, aucun n'était assez grand. À deux garçons et une fille, qui tout trois se ressemblaient comme des gouttes d'eau identiques, la solution était toute trouvé pour atteindre la poignée. Forts de leur nombre et de leur complicité, les triplés s'étaient constitués en une petite pyramide : Klaus et Joris en bas, à quatre pattes au sol pour constituer la base, et Arcana grimpant sur leurs dos pour tendre ses petites mains vers la clenche. Une fois attrapé, il lui avait suffi de laisser faire la gravité, se servant de son poids plume pour abaisser le levier magique, actionnant le mécanisme qui avait ouvert l'accès. Mais l'ouverture n'était encore que très légère, car, par peur de tomber de son pied d’estale improvisé, la jeune enfant n'avait pas voulu prendre le risque de pousser la porte trop loin. Tout trois s'étant remis sur leurs jambes, ils avaient poussé le battant et passé le chambranle.
Dans la pièce, le noir, ou presque. Tout du moins, l'obscurité, où filtrait maintenant la lumière du couloir. Sur le lit, au milieu de la chambre, les bambins voyaient enfin leur mère, recroquevillée sur elle-même. Ses discrets sanglots leur parvenaient, faisant bouger faiblement son corps de soubresaut incontrôlable. Joris sentait son cœur d'enfant se briser à cette vision. Une scène bien trop habituelle pour des bambins si jeunes. Papa avait encore fait mal à Maman, qui s'était cacher de la vue de ses enfants, afin de ne pas pleurer en leur présence. Du moins, le pensait-elle, car à chaque fois, ils venaient vers elle. Comme s'ils sentaient son désespoir. Elle avait beau fermer la porte, ça ne servait plus à rien, maintenant qu'ils pouvaient l'ouvrir.
Une fois de plus, les trois silhouettes s'étaient dirigées vers le grand lit, s'entraidant les uns les autres pour montrer dessus, et s'étaient posé contre leur mère, dans une douce étreinte enfantine. D'abord surprise, la femme leur avaient ouvert ses bras, pour serrer ses bébés contre son cœur. Malgré ses larmes, qu'elle essuyait à grands coups de revers de la main, un sourire attendrit était apparu sur ses lèvres tremblantes. C'est à ce moment que Joris avait relevé ses yeux bleus vers le visage maternel, ces mêmes yeux qu'il tenait d'elle, pour lui adresser quelques mots.
« Un jour, tu trouveras un gentil papa qui ne sera pas vilain avec toi, c'est promis maman ! »
Le sourire attendrit de la femme s'était fait plus franc, alors que son enfant lui promettait monts et merveilles, avec l'espoir d'un amour plus doux. Un enfant qui cherchait à rassurer sa mère, alors que cela devait être le contraire. Déposant un baiser tout doux sur son front, elle avait fait de même avec les deux autres, avant de les serrer un peu plus contre elle. Elle ne savait pas si cela était le début de la manifestation de son don, mais elle ne verrait que plus tard que cette affirmation se révélerait plus véridique qu'elle n'aurait pu le penser.
Cette situation n'était pas normale, Mara en prenait doucement conscience. Elle avait beau aimé son mari de tout son cœur, elle ne pouvait décemment pas nier plus longtemps qu'il y avait un problème. Elle pouvait lui trouver toutes les excuses possibles, il n'avait pas à faire ce qu'il faisait. Elle avait mis le temps avant de le reconnaître, mais elle était bien entouré, et ses proches n'avaient jamais cessé de croire qu'elle finirait par les écouter. Malgré la distance, malgré qu'il voulait l'éloigner d'eux, de cette présence néfaste pour elle que représentait sa famille. Du moins, de son point de vue à lui. Mais surtout, elle le voyait au travers de ses enfants, au travers de leur comportement. Ils ne devaient pas vivre ça, n'avaient pas à voir ça. Eux-mêmes semblaient avoir compris que ce n'était pas normale. Ça ne pouvait plus durer.
Son mari, Georges Monroe, un sorcier anglais spécialisé dans les enchantements, n'était plus celui qu'elle avait connu. Il y avait une chose dont elle était persuadé, c'était que tout avait commencé le jour où on avait annoncé sa maladie à l'homme. Une maladie incurable, et possiblement héréditaire, même si ce dernier point n'était pas un fait exact. Mais ça, il ne semblait pas l'avoir compris. Mara étant enceinte, il voyait déjà les petits touchés de la même maladie que lui. Elle avait beau lui répéter les paroles du médecin, qu'il y avait une chance pour que les enfants ne l'aient pas, il ne semblait pas vouloir l'entendre. Il n'acceptait pas sa maladie, c'était un fait, et ne comprenait rien d'autres que ce qu'il voulait bien comprendre. Le jour de la naissance, le 14 Janvier 1979, avait été stressant pour lui, alors que Mara tentait de le rassurer, persuadée que les petits n'auraient rien. Une situation quelque peu inversé, où elle semblait beaucoup plus confiante que lui concernant la santé de ses bébés. Peut – être son don de voyance la guidait dans cette intuition. Au final, c’était elle qui avait eu raison. Après quelques examens, il avait été révélé qu'aucun des enfants n'était touché par la maladie de leur père. C'est probablement là que tout avait basculé pour de bon.
Georges s'était fait très silencieux, les jours suivant le retour à la maison. Il ne parlait plus, fuyait sa femme, ignorait ses enfants, et quittait la maison dés qu'il en avait l'occasion. Épuisé et à bout de nerfs, Mara avait craqué. Elle, habituellement si douce et calme, avait fondu en larmes, et s'était énervé contre lui. Elle était fatiguée de s'occuper seule des trois enfants qui, bien qu'ils soient des bébés relativement calmes, avaient également besoin des soins de leur père pour bien grandir. Elle avait reçu la première claque, pour avoir osé lui crier dessus. Suivit d'une pluie d'insultes, où il l'accusait de l'avoir trompé, que les enfants n'étaient pas de lui, ne pouvaient pas être de lui, car ils n'étaient pas malades. Il avait conclu en disant qu'il supportait mal de « vivre avec une traînée » et qu'il refusait de s'occuper « des enfants de ton connard d'amant avec lequel tu m'as trompé ». Évidemment, tout cela était faux, mais il semblait croire que cela justifiait tout. Surprise et choqué, elle n'avait pas su quoi répondre sur le coup, alors qu'il quittait de nouveau la maison en la laissant seule avec les triplés.
Ça avait continué encore quatre années où Georges, devenu violent et instable, battait sa femme, et détestait ses enfants qu'il n'avait aucun scrupule à délaisser. Il n'acceptait pas sa maladie, encore moins que ses enfants ne l'ait pas, s'enfermant dans un délire compréhensible pour lui seulement. Parallèlement, il ne souhaitait pas se débarrasser de ses victimes toutes trouvées, les laissant vivre dans la maison où il savait les trouver. Il se doutait que, avec trois enfants, Mara n'aurait pas beaucoup d'options de fuite, ni beaucoup d'endroit où aller pour se réfugier. Il cherchait même à la faire culpabiliser de cette tromperie qu'elle n'avait pas commise, lui disant qu'elle devrait le remercier de la laisser habiter dans la maison avec les enfants, ainsi que de leur apporter de quoi vivre.
Or, cette situation n'était pas passée aussi inaperçu qu'il aurait pu le vouloir. La famille de Mara, qui n'avait jamais beaucoup aimé Georges, avait bien finit par se rendre compte du problème. Elle n'était plus aussi sûre d'elle qu'elle pouvait l'être avant, était moins joyeuse. Mais surtout, elle justifiait toujours ses bleues et ses blessures par une maladresse nouvelle. Une chute, un accident de potion ou de cuisine, un moment d’inattention pendant qu'elle jardinait, et on en passait des vertes et des pas mûres. Des choses qui ne lui ressemblaient pas. Puis les enfants avaient fini par parler, un jour. Dire que leur père faisait du mal à leur mère, c'était compliqué. La peur des répercussions, le manque de vocabulaire, ne pas savoir ce qu'il fallait dire ou non... À seulement 4 ans, c'était compliqué de savoir comment l'expliquer. Mais ça devait finir. Ça avait été long de la convaincre, mais Mara avait, à son tour, accepté de reconnaître la situation. Si elle ne le faisait pas pour elle, elle le faisait au moins pour ses enfants. Elle n'accepterait pas qu'il leur arrive quelque chose. Alors, elle avait demandé le divorce pour faute, malgré la peur de savoir quel type de réaction cette décision pourrait susciter chez Georges. Mais il n'avait pas réagi, bizarrement. Du moins, pas de la manière dont Mara aurait pensé. Il avait reconnu les faits, signé les papiers, et s'était évaporé dans la nature une fois le divorce prononcé. Il n'avait pas supporté, probablement. Personne ne le saurait jamais.
Sans emploi, avec trois enfants à charge, et au vu des événements récents, Mara ne pouvait pas rester dans son logement actuel. Face à cette situation, Fabio, son frère aîné, lui avait proposé de séjourner un temps chez lui. Sa femme, décédée l'année précédente, avait laissé un grand vide dans la maison où il vivait avec ses deux enfants, Barbara et Pablo. Puis il savait que cela ferait plaisir aux enfants. Ce ne serait que temporaire, le temps qu'elle puisse se remettre sur pied, notamment en retrouvant du travail. Anciennement professeur de divination, un métier qu'elle adorait et que son ex-mari l'avait forcé à quitté, c'était pourtant une voie qu'elle n'avait pas souhaité reprendre. Ses enfants iraient très probablement à Poudlard plus tard, et elle avait peur que sa présence dans les lieux les influences d'une façon ou d'une autre. C'était encore loin, certes, mais c'était son choix. Alors elle avait trouvé autre chose, en attendant.
Joris avait grandi ainsi, entouré de sa mère, de ses jumeaux, vivant sous le même toit que son oncle et ses cousins l'histoire d'un temps indéterminé. Une expérience qu'il avait appréciée, et lui avait paru presque trop courte. Mais sa mère ne voulait pas abuser de la gentillesse d'oncle Fabio, et ils étaient allés vivre dans leur nouveau foyer dés que leur mère en avait eu de nouveau les moyens.
Les triplés avaient découvert leurs pouvoirs aux environs de leur 9 ou 10 ans. Un âge qui n'était pas anormal, mais un événement assez surprenant du fait qu'ils s'étaient manifestés le même jour pour les trois. Joris se souvenait simplement que, dans son cas, ses jouets s'étaient brusquement animés sans prévenir les uns après les autres, si bien qu'il avait cru, sur le moment, à une présence démoniaque prenant possession de ses affaires. Évidemment, il connaissait l'existence de la magie, mais il n'avait pas encore pu l'expérimenter personnellement. Tout s'était stoppé net au bout de quelques secondes, et, pas vraiment rassuré de cet événement, il était allé se blottir dans les bras de sa mère qui lui avait expliqué la situation. Lui dire que, certes, c'était assez surprenant comme manifestation, mais qu'en vérité, il s'agissait d'une bonne nouvelle, et qu'il recevrait bientôt sa lettre pour aller à Poudlard.
C'est à la suite de cet événement que les cauchemars et les crises d'angoisse s'étaient intensifiés, de même que des facultés particulières. Comme tout enfants, Joris avait eu sa période de cauchemars et de rêves étranges, mais également de prémonitions. Enfin, prémonitions, tout était relatif. Il voyait et sentait des choses, des chemins futurs possibles, ce genre de choses. Au début, sa famille avait pensé à des coups de chance, qu'il était simplement assez intelligent et observateur pour deviner ce qui pourrait arriver. Ce qui avait été moins normal, c'est que tout cela avait persisté. Et dés l'apparition de ses pouvoirs, ça s'était amplifié. Mara, elle-même voyante, n'avait pas pu nier plus longtemps que son enfant devait avoir hérité de son don. Elle en était même persuadée. Tout ce que son enfant arrivait à prédire, à sentir, ne pouvait pas être le fruit d'une coïncidence. Ce n'était pas parfait, pas toujours exact, mais simplement parce qu'il ne maîtrisait pas encore ce don de voyance. Il apprendrait à s'en servir une fois qu'il serait à l'école de magie, et Mara l'aiderait également à bien l'utiliser.
Puis était venu le temps de se rendre au chemin de Traverse, pour acheter les fournitures nécessaires à l'entrée à Poudlard. Si découvrir cette grande allée commerçante avait été un émerveillement, ça n'avait peut – être pas été aussi fort que la découverte de l'école de magie, avec la grande salle et son plafond étoile, et les escaliers qui bougent. Bien qu'il entrait complètement dans l'univers, à la fois émerveillé et un peu stressé par ce changement, Joris était rassuré par le fait qu'il n'y entrait pas seul. Ils étaient trois dans cette aventure incroyable, et même si le choixpeau devait décider de ne pas tous les envoyer dans la même maison, ils savaient qu'ils pourraient toujours se retrouver et compter les uns sur les autres en cas de problèmes. En parlant du choixpeau magique, comme beaucoup de premiers années, le garçon n'avait pu refréner sa surprise et sa curiosité face à ce drôle de chapeau qui parlait et bougeait, et qu'on devait se laisser poser sur la tête pour être réparti dans l'une des quatre maisons. Naturellement, il n'avait pu se retenir de lui poser toute une flopée de question. Probablement comme beaucoup d'autres avant lui. Mais, désespérer de ne pouvoir lui répondre par manque de temps, le choixpeau lui avait simplement demandé le silence pour le répartir, le professeur McGonagall l'incitant à faire ses propres recherches si le sujet l’intéressait. Chose qu'il n'avait pas fallu lui répéter une deuxième fois.
Ainsi avait commencée sa première année, l'esprit avide de curiosité. L'astronomie, la botanique et les potions s'étaient révélé être des matières passionnantes à ses yeux. Pas que les autres ne l’intéressaient pas, mais il avait déjà ses préférences. Probablement que beaucoup avaient dû le regarder bizarrement du fait d'adorer les potions vu le prof qu'ils avaient (ou alors il était le seul à ne pas comprendre en quoi Rogue pouvait être si effrayant), mais il ne s'en était pas préoccupé plus que de mesure. Cependant, s'il s'en sortait généralement bien, il avait déjà des faiblesses notables dans deux matières : le vol et la métamorphose. La première, parce qu'il avait fait une crise de panique dés qu'il avait commencé à ne plus toucher le sol, et la seconde... Parce qu'il n'était pas doué, c'est tout. Rien à voir avec les professeurs, qui étaient adorables et essayaient de l'aider au mieux à s'améliorer, mais c'était compliqué. Pour le vol encore, ça allait quand ses crises de paniques le laissaient tranquille, mais la métamorphose, c'était vraiment pas ça. Ce qui ne l'empêchait pas de s'accrocher pour faire de son mieux.
L'année suivante, en deuxième année, il y avait eu l'arrivée du célèbre Harry Potter à Poudlard. Dit comme ça, ça donnait l'impression de quelque chose de grandiose, mais le jeune deuxième année n'avait pas vu de grandes différences (ou du moins pas tout de suite), si ce n'était que le petit brun à lunette avait beaucoup fait parler de lui dés le premier jour. Certes, on pouvait lui attribuer le mérite d'avoir sauvé l'école en fin d'année, comme il le fera encore plusieurs fois les années suivantes, mais Joris n'avait jamais vraiment fait parti de l'entourage du jeune héros. Plus important pour eux, cette année-là, Joris, Arcana et Klaus avaient rencontré celui qui deviendrait le nouveau mari de leur mère. Mara avait déjà eu de nouvelles histoires, dont certains que les enfants avaient rencontré, mais lui était différent. Il était gentil, patient, calme, et il n'était pas du genre à vouloir amadouer les trois enfants en les couvant de cadeaux. Il s’intéressait vraiment à eux, sincèrement, et pas seulement pour faire plaisir à leur mère. Lui – même n'avait pas d'enfant, mais en avait toujours voulu. Alors prendre sous son aile les enfants de sa nouvelle compagne ne lui posait aucun problème. De Beauvoir, pour son nom de famille, un Français venu s'expatrier en Angleterre quelques années plus tôt, afin de s'éloigner de sa famille avec laquelle il ne s'entendait pas beaucoup. Aux débuts, méfiants quant à ses intentions réelles, les enfants avaient eu du mal à lui faire confiance. Enfin, surtout Klaus et Arcana. Quant à lui, Joris avait rapidement reconnu chez l'homme celui qu'il voyait depuis si longtemps comme la personne parfaite pour sa mère, et s'était donc fait moins méfiant à son égard. Ça pouvait paraître surprenant, mais le petit médium était sûr de lui. D'ailleurs, il avait commencé à apprendre le piano grâce à lui, instrument dont il joue toujours aujourd'hui.
En troisième année, Joris avait découvert la divination qu'il avait prise comme matière optionnelle, et ça avait été la révélation. Ou plutôt, comme une évidence. La professeur était quelque peu excentrique, mais elle lui avait permis de commencer à révéler son don, et l'avait ainsi aider à mieux comprendre tout ce qu'il percevait. Elle lui permettait de mettre plus facilement des mots et interprétations sur ses visions, de mieux comprendre ses crises d'angoisse et ses cauchemars. Une matière dans laquelle il était doué, et dans laquelle il s'investissait beaucoup. Il avait également découvert, cette année-là, le cours de soin aux créatures magiques. Avec tous ces cours passé à l'intérieur du château, cette matière était une véritable bouffée d'air frais grâce aux cours en plein air qu'elle proposait. La variété de la faune magique avait piqué l’intérêt de Joris, qui avait été désireux d'en apprendre plus en la matière.
Au fur et à mesure du temps, sa conviction concernant son beau père s'était vérifier, l'homme avait demandé Mara en mariage durant l'été 1993, et les deux adultes s'étaient mariés en Octobre 1993, à peine un mois après la rentrée des triplés en quatrième année. Les triplés avaient ainsi pris son nom de famille, et le considéraient désormais comme la figure émotionnelle du père qui leur avait manqué. Mis à part cela, cette année fut celle des détraqueurs détraqués, d'une nuit passé dans la grande salle, et d'un Sirius Black en liberté qui effrayait le plus grand nombre. En d'autre terme, une année aussi joyeuse et mouvementé que les précédentes. L'année suivante fut celle du tournoi des trois sorciers. Enfin, plutôt quatre, Mister Potter s'étant retrouvé nominé par on ne savait quel miracle. Mais cela avait été le cadet des soucis de l'école comparé au décès de Cédric Digorry à la fin dudit tournoi, et à l'annonce du retour du seigneur des ténèbres par Harry (que beaucoup n'ont pas cru au passage). Qui a raison et qui a tort ? Là est encore tout le mystère.
Aujourd'hui, Joris entame sa sixième année à Poudlard, avec l'espoir (comme, probablement, beaucoup de ses camarades) d'une année plus calme. Mais quelque chose lui souffle qu'il ne vaut mieux pas compter là – dessus.
Joris de Beauvoir
Membre
Mar 18 Fév 2020 - 22:33
Vision, ma chère vision, que puis – je croire de toi ? Un jour de Mars 1994••• Assit dans la cour du clocher, en compagnie de Klaus, Arcana et de quelques amis, Joris s’entraînait à lire les lignes de la main de sa sœur, tout en discutant avec le reste du groupe. La demoiselle se laissait volontiers faire, si cela pouvait aider son frère à s'améliorer. Ce n'était pas une chose inhabituelle, il arrivait au brun de se servir de ses jumeaux (ainsi que d'autres personnes le voulant bien) pour s’entraîner à ce genre d'exercice divinatoire. Pour ceux connaissant son projet professionnel et/ou son don, ce n'était plus guère surprenant. Certains y croyaient, d'autres pas, ce qui n'empêchait pas la vie de continuer.
« Alors Monsieur le devin, que vous disent les lignes de ma main ? Que je vais me marier à 30 ans et avoir 4 enfants ? » Lui avait-elle demandé sur un ton qui relevait plus de la plaisanterie que du sérieux. « C'est nouveau ça, tu veux connaître ton avenir maintenant ? » Avait-il interrogé pour la taquiner. « Ouais, non, t'as raison, continue de garder le mystère, sinon ça va me porter la poisse. » Avait-elle simplement répondu de la même façon.
Quelques rires plus tard, le jeune homme avait simplement lâché la main de sa jumelle, et ils avaient repris une conversation normale avec le reste du groupe. Cette année était celle du tournoi des trois sorciers. Ou plutôt des quatre, tout dépendait de la façon dont on voyait les choses. L'épreuve du lac s'était terminé quelques jours plus tôt, sur une victoire du champion des Poufsouffles, Cédric Diggory. Alors, forcement, ça faisait parler. D'ailleurs, c'était le moment que le jaune et noir avait choisis pour apparaître à son tour dans la cour du clocher. Et c'était sans compter sur la détermination d'Arcana pour aller le féliciter pour sa victoire lors de l'épreuve, forçant presque ses frères et le reste du petit groupe à la suivre pour faire de même. N'ayant pas vraiment de lien particulier avec le jeune homme, Joris ne voyait pas l’intérêt d'aller l'embêter avec ça, sans compter qu'il devait déjà être sollicité par une bonne partie de l'école, et que ça devait déjà lui mettre une pression importante. D'un autre côté, il comprenait aussi que le fait de savoir qu'il était soutenu pouvait lui faire plaisir, pour l'encourager à faire encore mieux pour la suite. Puis, comme le disait la jeune femme, « on ne va pas le voir pour jouer les groupies, juste le féliciter et l'encourager pour la dernière épreuve ». Après tout, vu la complexité de ces dernières, c'était mérité, non ?
Mais alors que Joris serrait la main de Cédric pour le féliciter, il avait eu un flash soudain, une vision le prenant sans prévenir.
Il voyait un labyrinthe. Tout du moins une entrée d'un labyrinthe. Autour de lui, il n'y avait rien d'autre qu'un épais brouillard, et cette entrée. Visiblement, il n'avait d'autre choix que d'y entrer. D'abord lentement, curieux et peu assuré. Et, sans vraiment comprendre pourquoi il avait eu ce sentiment d'empressement. Il fallait qu'il aille vite. Alors, il s'était mis à courir. Il courrait, et courrait dans tous les sens, de tous les côtés, entouré des hautes haies qui constituaient le labyrinthe. Une légère brume s'en dégageait, rendant la vision un peu plus compliqué. Il savait qu'il cherchait quelque chose, mais était incapable de savoir quoi. Cette idée l’obsédait. Il fallait qu'il trouve cette chose, mais était incapable de l'identifier exactement. Il ne cessait d'avancer, et, comme vivant ou enchanté, le labyrinthe lui mettait des bâtons dans les roues, le forçant à ralentir pour trouver un autre chemin, ou à accélérer ou lancer un sort pour éviter un piège. Il devait agir vite, sans savoir pourquoi, sans savoir ce qu'il cherchait, ou même s'il ne fuyait pas plutôt quelque chose. Il n'était pas à l'aise avec toutes ces possibilités, pas à l'aise de ne pas savoir. Par moments, il croisait une ombre, à l'apparence d'une forme humaine, qui courrait comme lui. Devait-il la fuir, ou cherchait-elle simplement la même chose ? Il ne savait pas, ou ne pouvait pas encore le savoir.
Puis, d'un seul coup, un cri l'avait fait se stopper. Peut-être humain, ou peut-être pas, strident, rempli de peur et d'effroi. Un cri inconnu. Impossible de savoir d'où cela venait. Il avait repris, avait encore couru, confronté aux obstacles du labyrinthe, et s'était retrouvé face à une silhouette. Une espèce de pantin désarticulé, dont les fils étaient maintenus par quelque chose de plus grand encore. Etait-ce un nouvel obstacle du labyrinthe ? Devait-il l'affronter pour continuer ? Quelque chose d'autre ? Il ne sait pas, ne comprend pas. Mais pas le temps d'y réfléchir plus longtemps qu'il aperçoit l'ombre de tout à l'heure, et que tout se passe très vite. L'ombre lance des lumières rouges vers le ciel, et le pantin est emporté hors du labyrinthe. Puis, il ne sait pas expliquer comment, mais un passage s'ouvre dans les hautes haies, et apparaît un objet, d'une forme qu'il ne parviens pas à identifié à cause de la lumière bleue éblouissante qui en émane, que l'ombre se met à désigner. Joris ne comprend pas dans un premier temps. S'agissait-il de l'objet pour lequel il courrait depuis tout à l'heure ? L'ombre avait commencé à courir dans la direction de l'objet, et, comme prit de panique à l'idée qu'elle l'atteigne avant lui, Joris avait fais de même. Ainsi, tout deux s'étaient mis à courir, et avaient attrapé l'objet en même temps.
Mais, d'un seul coup, le décor avait changé. Le labyrinthe s'était effacé, peu à peu remplacé par un décor sinistre. Un cimetière. Était ce normal d’atterrir ici ? Quelqu'un voulait-il les faire venir jusqu'ici ? Mais pourquoi ? Se tournant vers l'ombre, il ne trouvait vers elle pas plus de réponse qu'il n'avait de question. De même, l'objet brillant se trouvait un peu plus loin, sans que Joris ne puisse définir comment il y avait atterri. Mais il avait eu à peine le temps de se poser plus d'interrogation que, du coin de l’œil, il remarquait un gros rat qui s'avançait vers eux, marchant sur ses deux pattes arrières comme un humain. Joris, se sentant menacé par sa présence, avait sorti sa baguette, prêt à se battre contre lui. Mais le gros rat avait été plus rapide, et avait couiné dans sa direction, avant qu'un jet de lumière de couleur verte se dirige vers le brun, le touchant de plein fouet. Puis plus rien, le vide, le noir.
C'est à ce moment qu'il était revenu à lui, dans la réalité. Il tenait toujours la main de Cédric qui, à l'image des autres personnes autour d'eux, le regardait d'un air inquiet. Sa vision avait quelque peu secoué le brun, et cela devait grandement se voir sur son visage, même s'il tentait de garder contenance. Il ne se sentait pas bien, pas du tout. La seule chose censée qu'il avait été capable de dire était « Fait attention à toi lors de la dernière épreuve. », avant de prendre rapidement la fuite en sentant qu'il commençait à faire une crise d'angoisse. Se réfugiant plus loin, dans un coin calme, il avait été rapidement rejoint par Klaus et Arcana, qui l'avaient aidé à se calmer avant de lui demander ce qu'il s'était passé. Joris leur avait alors raconté sa vision, ce qu'il avait vu et ressentit en touchant Cédric. D'une façon ou d'une autre, la vision qu'il venait d'avoir devait avoir un lien avec lui et la dernière épreuve. Il ne voyait pas d'autres explications. Mais qu'est-ce que cela pouvait bien dire ? Mise à part les difficultés de l'épreuve, allait il lui arriver autre chose ? Ce qu'il avait vu allait-il vraiment se produire ? Il ne savait pas, encore incapable de comprendre et d'interpréter toutes les subtilités des images que son don lui montrait. Puis, il ne pouvait pas prévoir que cela se réaliserait ou non, ce n'était peut-être qu'une voie possible. Une voie possible terrifiante, que Joris ne souhaitait pas au jeune homme. Il ne savait pas si le Poufsouffle avait pris sa phrase comme une mise en garde ou un simple conseil avisé, mais il espérait ne pas l'avoir inquiété inutilement pour une chose dont lui – même ne pouvait pas être sûr.
Quelques mois plus tard, lorsque la dernière épreuve avait été révélée, et que Cédric avait été ramené mort par Harry Potter, il ne pouvait plus y avoir de doute aux yeux de Joris. La vision qu'il avait eue lui avait montré la mort du Poufsouffle, et personne n'avait rien pu faire pour l'éviter. Incapable d'avoir une vision suffisamment claire et précise concernant le jaune et noir, même Joris n'avait pas pu prévoir que ce qu'il allait véritablement se passer. Et même encore aujourd'hui, il ne pouvait pas être sûr que tout ce qu'il avait vu s'était déroulé, puisque le dernier témoin restant était Harry. Et lui-même, disait il la vérité ? Que pouvait – on croire ? :copyright:️ 2981 12289 0
Joris de Beauvoir
Membre
Dim 23 Fév 2020 - 21:43
Petit up pour signaler la fin de ma fiche En espérant ne rien avoir oublié
Joris de Beauvoir
Membre
Mar 25 Fév 2020 - 21:04
Bienvenue a toi et bon courrage pour ta validation
Invité
Invité
Jeu 27 Fév 2020 - 19:50
Un jeune garçon pleins d'empathie, d'une loyauté sans faille, mais également curieux, se plaisant dans la marginalité.. Hum.. Tu te plairais à voler parmi les aigles, mais je pense qu'un terrier te conviendras mieux..
Ta place est à... POUFSOUFFLE !
Le Choixpeau Magique
Maître du Jeu
Jeu 27 Fév 2020 - 19:50
Bienvenue à toi, nouveau membre de Veritaserum !
Nous avons le plaisir de te compter parmi nos membres à partir d'aujourd'hui. Pour te permettre de commencer ton aventure dans les meilleures conditions possibles, nous avons rassemblé quelques indicateurs qui te seront sûrement utiles. Tu trouveras ainsi une liste de liens à suivre avec quelques précisions ci-dessous.
• En premier lieu, nous t'invitons à venir recenser ton personnage dans les bottins suivant : Bottin des prénoms & noms et Bottin des avatars. • En second lieu, nous t'invitons à venir recenser les deux meilleurs amis de ton personnage dans les registres adéquats : Registre des baguettes et Patronus des sorciers. • En troisième, nous t'invitons, si ton personnage est un sang-pur, possède un don ou est une créature, de venir le recenser dans les registres adéquats : Registre des sang-purs et Registre des pouvoirs et créatures jouables. • En quatrième, dépendant de si tu es un adulte travaillant à Poudlard ou en dehors, ou un élève faisant parti d'un club, nous t'invitons à lire et recenser ton personnage dans la bonne section : Vie à Poudlard & Règlement de l'école et Lois magiques & Postes des citoyens. • Enfin, si tu souhaites que ton personnage rejoigne l'Ordre du Phénix, les Mangemorts ou L'OEil, nous t'invitons à lire ce sujet.
Après cela, nous t'invitons à poster ton Journal dans cette section pour y répertorier tous tes futurs RPs. Tu trouveras ici la section pour en demander de nouveaux. Enfin, découlant sûrement de ces derniers, tu trouveras ici la section où poster la fiche relationnelle de ton personnage, à alimenter autant que tu le voudras !
Tu peux maintenant pleinement profiter de l'aventure Veritaserum ! Régale-toi !
Le Choixpeau Magique
Maître du Jeu
Jeu 27 Fév 2020 - 19:53
Un copain jaune poussin ! Il nous faudra un lien. Re bienvenue parmi nous.
Azalée Winchester
Admin gloutonne
_________________
I'm a barbie girl
When I was young, it seemed that life was so wonderful, a miracle, oh it was beautiful, magical.
Jeu 27 Fév 2020 - 21:09
Merci beaucoup pour la validation, très content d’atterrir chez les jaune et noir
Et merci pour les messages de bienvenue ! Azalée : Pour le lien, j'approuve complètement qu'il nous en faut un
Joris de Beauvoir
Membre
Jeu 27 Fév 2020 - 22:00
Ma fiche t'es ouverte également malgré nos maison différentes et âge. Félicitations pour ta validation
Invité
Invité
Ven 28 Fév 2020 - 16:26
Un copain voyant !
Hâte de voir ce nouveau personnage en action, en tout cas (et très belle fiche que j'ai pris plaisir à lire) !
Invité
Invité
Sam 29 Fév 2020 - 9:56
Bienvenue à ce petit Blaireau marginal Très chouette fiche !
Aria Beurk
Admin empathique
_________________
Ecoute cette médolie troublante. C'est l'eau qui chante.
Jeu 5 Mar 2020 - 22:37
Bienvenue à Poufsouffle et belle fiche !
Ariel Melwing
Modo aquatique
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