Eileen M. KingFICHE DE PRÉSENTATION
IDENTITÉ
PRÉNOM(s) & NOM : Eileen Murphy King.
DATE DE NAISSANCE & ÂGE : 21/12/1979 ▬ 15 ans.
ANNÉE OU MÉTIER : 5ème année.
ORIGINE/CRÉATURE : Née-moldu.
DONS & MALÉDICTIONS : Votre réponse.
FAMILIER : Duchesse, une femelle maine coon au pelage d'un blanc nacré.
CLUB(S) : Le Club de Duel, Le Club d'Art & Lecture.
BAGUETTE : Taillée dans un bois de charme, cette baguette d'une grande sensibilité possède pour cœur une plume de phénix. Elle mesure 31,6 centimètres, extrêmement fine et paradoxalement d'une souplesse improbable. Courant sur le long de la lame se trouve de fines gravures illisibles, mais lui offrant une apparence mystérieuse, renforcé par le manche se terminant sur une petite perle de cristal emplie d'une fumée dont la couleur change au gré des envies de sa propriétaire.
PATRONUS : Gracieuse sirène des profondeurs. L'essence secrète et sensible des souvenirs empruntés pour développer sa protection ne laisse aucun doute quant à la réponse du pourquoi. Une méduse (atolla wyvillei).
ÉPOUVANTARD & RIDIKULUS : Bien que l'on puisse voir cela comme une force, elle y voit une faiblesse. Depuis sa troisième année, la présence des détraqueurs à Poudlard l'a tellement marqué qu'elle en possède désormais une peur suffocante. Son ridikulus, si elle parvient à se maîtriser et le lancer, prendrait la forme ridicule des enfants se déguisant en fantôme pour Halloween, bien à la moldu.
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HORS JEU
PSEUDONYME : Ne m'appelez pas, sifflez-moi.
ÂGE IRL : 25 ans.
AVATAR : Emily Rudd.
COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? En étant l'un des fondateurs, ça compte ?
MAISONS SOUHAITÉES: Gryffondor ou Poufsouffle.
AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ?Si Voldemort avait une fille, elle s'appellerait Voldevie ! |
QUI ES-TU ? 500 mots
« Nous nous sommes connus pour une raison. Ou tu es une bénédiction, ou tu es une leçon. »
Je m'appelle Eileen, j'ai quinze ans, je suis en cinquième année à Poudlard et j'ai hâte de retourner dans mon école de magie. Je suis une magicienne et une musicienne. Je suis née à la Nouvelle-Orléans, j'y ai grandi jusqu'à mes neuf ans, puis mes parents sont morts et j'ai été confiée à une cousine éloignée de ma mère qui était une vrai mégère. Le professeur Chat m'a emmené voir Tom, le gérant du Chaudron Baveur, quand j'avais onze ans et depuis, j'y travaille et y vis durant l'été. Bref, ma vie est triste et cool à la fois, mais je crois que ma vie, ici, on s'en fout, hein ?
Non, le but, c'est que je vous dise comment je suis au fond de moi. Mon physique, je vous dirais bien que vous pourrez baver dessus en observant la jolie photo de moi à côté de ce texte, mais c'est vrai que pour le caractère, c'est un peu plus embêtant. Comme je n'ai aucune idée de comment me décrire, j'ai décidé de briser le quatrième mur en vous parlant directement, juste pour cela. Promis, c'est la première et dernière fois.
Du coup, me décrire, me décrire... Je suis courageuse. De là à dire que je mérite ma place avec les preux Chevalier de Poudlard ? Je ne sais pas. Téméraire, il m'arrive aussi de l'être parfois. Je suis un peu une sorte de prédatrice qui n'a peur de rien, en fait, maintenant que j'y pense, vous voyez ? Bon, après, je ne suis pas là pour manger... Même si manger un ou deux garçons, par moment... Ok, ma blague est nulle, ça arrive, ok ? Plus sérieusement, je suis une sorte de prédatrice de la blague, de la surprise et de l'émerveillement, vous voyez ? Je me tapis dans l'ombre telle l'araignée et je patiente, je patiente, jusqu'à pouvoir sortir ma plus belle expérience sociable pour un sorcier et voir l'éclat d'incompréhension dans son regard... C'est magique.
Mes proies préférées ? Les sang-purs. Pourquoi ? Parce qu'il ne connaisse rien du monde moldu, donc c'est d'autant plus facile de les surprendre. Dites à un sang-pur qu'on a marché sur la lune, vous allez voir sa tête. C'est pareil pour les tours de magie, pour les hypnotiser ou pour le mentalisme. D'ailleurs, là-dessus, c'est très drôle, on me prête à Poudlard des pouvoirs mystiques, comme quoi je maîtrise les arts de l'esprit pour lire en vous de façon innée... Alors que, entre nous, pas du tout. Je suis juste une très bonne observatrice. J'arrive à voir les micro-expressions que les autres ne remarquent pas, où les micro-mouvements qui vont me permettre de deviner la pensée de mon interlocuteur. Et encore, ça ne marche pas pour tout ou avec tout le monde, mais pour les tours que je fais... À chaque fois. C'est un mélange d'observation, d'interprétation et de logique, au final... Et je suis une née-moldue. Magicienne en prime.
La logique, je la connais, du coup. De là à dire que j'ai ma place chez les Serdaigles ? Alors, même pas en rêve. Je laisse les coincés du cul avec les coincés du cul, merci bien. Niveau résultat, je ne dis pas, ils sont doués. Par contre, pour s'éclater et profiter de la vie, la voir tout en couleurs, on repassera. Et puis la majorité sont quand même grave pédant ! Encore heureux qu'il y a les exceptions pour sauver l'honneur de cette vieille Rowena. Les autres ? Des têtes-à-claques.
Un peu comme Malfoy, mais avec moins d'argent et de meilleur résultat. Serpendard ? Moi, fourbe ? Complètement. Je le dis, je suis une menteuse. Une menteuse honnête, parce que je leur dis que je mens, mais ils en redemandent. Je n'y peux rien, moi, s'ils aiment ça. Bon, et puis, faut dire que si tu t'en prends à un de mes amis... C'est plus fourbe que je vais être, c'est vicieuse et violente... Du coup, là-dessus, on s'y retrouve pas mal. Le problème ? Vous ne le voyez vraiment pas ? Je suis une Née-Moldu ! Et, croyez-moi, je n'ai pas très envie de rejoindre mes parents aussi vite, alors je vais rester loin du vert ! Merci !
En dernier... Oui, vous l'aurez compris, je suis loyale. Et travailleuse. En fait, pour moi, la loyauté... Ca se mérite, déjà, mais surtout, ça ne se trahit pas. Un mec ou une fille, qui se dit être mon ami(e) et qui me fait une crasse ? J'espère qu'il possède un bon instinct de survie et qu'il ne m'approchera plus. Honnêtement, j'ai moins de mal avec un connard qui assume d'être un connard depuis le début, du style Malfoy-la-fouine, qu'avec ça. Et pour le côté travailleur... Bah oui, la musique, la magie, ça ne s'apprend pas tout seul. Faire des expériences pour créer de nouveaux trucs en potion non plus. Après, pour les cours, je ne le suis pas, j'avoue. Je suis assez bonne en pratique, je me débrouille à peu près partout, mais alors la théorie ? De la théorie avec de la sorcellerie, en dehors des potions ? Ils sont sérieux ? Ça n'a pas de logique ! Donc je m'en fiche royalement, oui.
Mes BUSEs ? C'est quoi des BUSEs ? Jamais entendu parler... Ou j'ai oublié, ça ne doit pas être intéressant. Moi, par contre, je vous jure que je le suis !
IL ÉTAIT UNE FOIS... 750 mots
« Problèmes ou réussites, tous sont le résultat de nos propres actions. Le karma. La philosophie de l’action est que personne ne fournit la paix ou le bonheur. Le karma lui-même et les actions sont responsables du bonheur, du succès ou de toute autre chose. »
Mon papa disait toujours que la vie, c'est comme une bonne musique. On ne comprend pas toujours ce qu'il se passe. Ça peut nous énerver, ça peut nous remplir de joie, ça peut nous attrister, comme ça peut nous émerveiller. Moi, c'est ce que je voulais, c'est ce que je veux. Faire naître ce sentiment exquis.
Mon papa, c'était un jazzman. Il jouait de la guitare, de la trompette, du piano et de la contrebasse. C'est lui qui m'a transmis sa passion de la musique. C'est lui qui m'a offert mon premier instrument, une magnifique trompette, quand j'avais quatre ans. À l'époque, on vivait toujours à la Nouvelle-Orléans, vous savez. J'aimais cette ville, j'aimais notre maison. C'était une vie passionnée et passionnante, où sur les grandes épaules de mon papa, j'avais l'impression d'être la reine du monde.
Vous savez, mon papa, il me manque beaucoup, mais je sais qu'au final, à travers moi, il continue de vivre. C'est lui qui m'a appris mes premiers accords à la guitare, qui m'a enseigné le solfège et m'a appris à lire une partition. C'est lui, alors que je savais à peine marché, qui m'a enseigné à entendre les couleurs et à voir les sons. La musique, c'était sa passion et je sais qu'il a su me la transmettre. Il était incroyable, mon papa. C'était à la fois un philosophe, un gendarme, un professeur, un théoricien, un garagiste, un électricien... Mon papa, il avait tous les emplois, toutes les casquettes. Vous savez pourquoi, monsieur ? Eh bien, c'est pourtant simple, je trouve... Parce que mon papa, c'était peut-être un homme, mais avait tout, c'était mon papa.
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Ma maman disait toujours que la vie, c'est comme un tour de magie. On ne comprend pas toujours ce qu'il se passe. Ça peut nous énerver, ça peut nous remplir de joie, ça peut nous attrister, comme ça peut nous émerveiller. Moi, c'est ce que je voulais, c'est ce que je veux. Faire naître ce sentiment exquis.
Ma maman, c'était une magicienne. Avec un simple paquet de cartes, elle vous faisait voyager à travers les astres. Elle était époustouflante, ma maman, à prendre la logique, à la tordre, à la distordre, jusqu'à vous faire croire que l'impossible est réel. Au fond, on le sait tous, c'est un mensonge. Mais, comme ma maman me l'a appris, les magiciens, ce sont peut-être des menteurs, mais ce sont des menteurs honnêtes. Vous savez qu'ils sont là pour vous arnaquer, qu'ils y arrivent, mais vous ne pouvez pas vous empêcher d'en redemander.
C'est elle qui m'a appris, alors que je n'arrivais pas encore à manger avec une fourchette sans en mettre plus sur mes joues que dans ma bouche, mon premier tour. Je le faisais à tout le monde. Nos voisins, les amis de ma famille, même les inconnus dans la rue. Je n'étais pas encore très douée, je dois bien l'avouer et il m'arrivait souvent de me foirer, mais les gens, si bienveillants, ne se moquaient pas et m'encourageaient tous sur cette voie si fantasque.
Au final, je suis un peu une menteuse, comme maman l'était. Mais maman, avant d'être une menteuse, c'était une femme incroyable. Elle était cuisinière, femme de ménage, pédiatre, orthophoniste, professeur, princesse... Ma maman, elle avait tous les emplois, toutes les casquettes. Oui, vous l'avez compris. Elle était un peu comme mon papa, là-dessus. Et ma maman, qui me manque tant, était la femme la plus belle, la plus aimante et la plus merveilleuse du monde... Mais, avant tout, c'était surtout ma maman.
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J'étais jeune, vous savez, quand ils sont morts. Enfin, je ne peux pas vraiment dire que je suis une vieille peau non plus, comme il y en a plein au Chaudron Baveur. J'habite là-bas pendant l'été, maintenant que je suis à l'école de magie, où j'y vis pendant l'année. C'est plutôt cool, en vrai. Je travaille pour me payer ma chambre comme barmaid, mais j'avoue que je passe plus de temps à discuter avec les clients et à leur faire des tours de magie, du mentalisme ou à les hypnotiser, qu'à les servir et Tom le voit bien, mais il me laisse faire. Il faut dire qu'il le sait : j'adore faire ça sur des sorciers, ils sont d'autant plus réceptifs que les moldus et ils n'en reviennent pas à chaque fois.
Oui, je suis une sorcière. Enfin, comme vous monsieur, j'étais une moldu avant, puis à onze ans, j'ai reçu ma lettre pour Poudlard. C'était un truc incroyable. Je n'en revenais pas et puis la tête de la vieille pi qui me servait de gardienne, une cousine éloignée de ma mère... C'était tellement magique. Puis le Professeur Chat est arrivée et elle a réglé le problème en quelques paroles. Elle m'emmenait loin de cette mégère, direction le pub où je vis maintenant. Elle a parlé avec Tom et j'avais une chambre, de la nourriture, et même un petit salaire pour me faire plaisir. Ouais, ils sont un peu bizarres les sorciers à laisser des enfants sans surveillance, mais que voulez-vous ? Moi, ça m'arrange, je suis libre ! Et puis au fond, je sais que Tom veille sur moi, même s'il ne le dit pas.
D'ailleurs, c'est lui qui m'a appris à faire des cocktails du feu de Dieu... Sans ça, je suppose que j'aurai été vraiment naze en potion. Déjà que je ne suis pas la meilleure et que le Professeur Rogue me regarde toujours comme s'il voulait me transformer en ingrédient pour ses expériences... Brr. J'en ai la chair de poule, rien que d'y penser. Il est flippant, vous savez, mais au fond, je crois que je l'aime bien. Ça se voit qu'il souffre. Je ne sais pas de quoi, mais ça se voit. Et puis même s'il m'énerve et qu'il ne m'aime pas, je ne peux pas lui en vouloir. Je crois qu'à sa place, je ne m'aimerai pas non plus !
Il faut dire que je suis un peu une furieuse à l'école, vous voyez ? Je ne suis pas le genre d'élève qui ne fait pas de bêtise, bien rangé, à la Granger. À loisir, je me sens plus connectée aux Jumeaux Weasley. Faire des tours de magie aux autres élèves, essayer de créer des trucs et d'autres avec les potions - même si je suis assez nulle, je sais qu'un jour, j'y arriverai ! -, jouer de la musique, danser, m’esclaffer ! La vie, il faut qu'elle soit vécue en couleur, alors je m'y emploie tous les jours.
D'une certaine façon, c'est pour leur rendre hommage. Je sais qu'ils n'auraient pas voulu que je passe ma vie à être triste. Non, c'étaient des gens haut-en-couleur et je me dois de l'être pour eux ! Alors, tadam, c'est ce que je suis ! Après, j'évite de faire des bêtises trop grosses... Genre prendre de la drogue, il ne faut pas déconner... Faire le mur, par contre, pour me balader la nuit... Meh, je ne serais pas là sinon, il faut bien se le dire. Je suis presque persuadée que j'ai trouvé tous les passages secrets ! C'est très pratique pour sortir la nuit en cachette sans se faire prendre par les rôdeurs Miss Teigne et son horrible troll de maître Rusard... Bon, ce n'est pas infaïble. Sinon, il est clair que je n'aurai pas eu autant de retenues depuis le début de ma scolarité, mais bon, en général, ça passe ! Sinon, vous connaissez l'adage, c'est que ça casse.
D'ailleurs, quelque chose qui casse, c'est Potter. Depuis l'an dernier, ce qu'il a dit avec Diggory dans les bras, mort, m'a marqué. Je n'arrête pas d'y penser. On dit que Voldy était du genre à massacrer les gens comme moi. C'est un peu flippant. J'espère qu'il va gentiment m'oublier, s'il est vraiment de retour. Je ne sais pas trop quoi en penser. Par contre, l'état pense que c'est un mensonge, lui. Potter n'a pas vraiment le profil du menteur, mais bon... N'importe qui voudrait se rendre intéressant, un peu, non ? Regardez-moi, à vous parler, sans m'arrêter... Bref. Dans tous les cas, vrai ou pas vrai, Voldy me cherche, je lui casse les dents. Je ne vais pas me laisser massacrer sans me défendre, il ne faut pas rêver !
Vous êtes d'accord, n'est-ce pas ? Quand on veut quelque chose, il faut faire les bonnes actions pour l'avoir. Alors, peut-être que pour avoir la paix s'il est de retour, c'est peut-être d'aller lui faire la guerre un bon coup, le renvoyer au cimetière et l'affaire sera réglé. Ouais, c'est décidé. S'il est revenu, je l'avada kedavrase. Je sais, le Professeur Maugrey nous l'a bien expliqué, c'est interdit, c'est un impardonnable. Mais si c'est sur un fou furieux mégalomane meurtrier, est-ce que ce ne serait pas un service rendu à la nation ? Bon, j'exagère peut-être un peu, mais je crois que c'est dans mon caractère.
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Comme mes parents le disaient toujours : il ne faut pas se laisser aller au malheur. Avoir le sourire, se battre, avoir le courage de vivre sa vie comme on l'entend, quoi qu'il nous arrive, c'est la clef de la réussite. Et ma réussite, à moi, à présent, ce serait de vous faire découvrir ce sentiment exquis... Alors... Dites-moi, monsieur !
Est-ce que vous voulez un tour de magie, que je devine vos pensées, que je vous fasse visiter le monde magique que vous ne verrez jamais par l'hypnose ou vous voulez que je vous joue la musique de votre choix, avec ma trompette ou ma guitare ?
| Eileen M. King Admin enragé  | |
Mer 1 Avr 2020 - 21:04
