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[FB, 2 septembre 1995] Tendresse et Chocolat - Yöan et Onixya

 :: Hors-Jeu :: La Pensine :: RP Harry Potter :: Les RPs Abandonnés Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Mer 22 Avr 2020 - 16:03
♫ Tendresse et Chocolat ♫
Tout a commencé dans la grande salle pendant le repas du midi. C'est toujours à ce moment-là que cela se passe, n'est-ce pas ma très chère Onixya ? Lorsqu'elle c'était assise à table et qu'elle avait vu le nuage noir et pluvieux au dessus de la tête du jeune professeur Wyatt. Un nouveau professeur lui aussi qui avait eu la bienséance de ne pas interrompre le directeur de maison pour un discours encore plus éclairant que celui de sa collègue, le professeur Ombrage. Tous les deux portaient un nom réputé. L'un dans le monde des créatures Fantastique, l'autre aux seins même de notre gouvernement.

Il se pouvait que se nuage soit l'origine de ses nouvelles réformes sur le cours qu'il est sensé donné en DCFM. Ses réformes faisaient énormément de bruit et tous les élèves s'en plaignait, ou en parlait. Cela n'a pas manqué de tomber dans les oreilles curieuses et attentives de la jeune femme. Il y a autre chose que son sang de commère a entendue également. Il s'agissait du nom de cette jeune fille qui avait fait grand bruit la veilles au soir. Tantôt admiré pour son courage, tantôt outrée par son irrespect et sa stupidité. Il se pouvait donc très fort qu'il s'agissait également la cause de la fumé qui sortait de ses narines dés qu'il observait la flamboyante Tabata.

Très discrètement, elle jeta des petits coups d'œil discret au professeur, puis a la jeune fille en question de temps à autre. Elle se demandait la proximité de leurs liens familiaux en autre. Mais surtout elle essayait de comprendre les émotions et ses propres sensations pour que la situation se précise dans son esprit. Sa conclusion : être dans un état pareil dés son premier jour d'enseignement était vraiment très mauvais signe pour lui...Dans quel état finirait-il après un coup tordu des frères Weasley ?. Elle devait agir très vite si elle ne voudrait pas gérer la semaine prochaine un professeur en pleine crise de Burn Out.

La jeune femme attendit qu'il ait terminé son repas, de se lever de sa place et d'aller se présenter devant lui en souriant. D'une démarche élégante, digne des jeunes filles d'un autre temps, elle s'arrête devant le professeur ne lui ainsi que la vue du haut d'une robe issu d'une période oublié, très soignée et aussi noire que la chevelure bouclé de la jeune infirmière. Son regard d'un azur pur et rare même chez le plus cher des saphirs se pose dans le bleu deux ceux du professeur. Si Blanche Neige devait exister, elle se trouvait forcement en face de lui. Sa peau était un pâle a la fois perturbant mais pas terrifiant. Cette jeune femme tout droit tirer d'un conte de fée ringard, se pare d'un sourire ténébreux, illuminé par des fines perles blanche et avance légèrement le haut de son corps dans sa direction pour immédiatement briser la glace de paroles mélodieuse et enthousiasme.

« Enchantée, Professeur Wyatt ! Je m'appelle Onixya Wintersong et je suis l'Assistante de Madame Pomfresh, l'infirmière de cette école ! Je n'avais pas encore eu l'occasion de vous souhaiter la bienvenue parmi nous, cela ne vous dérange pas que je vous vole quelqu'un instant pour y remédier ? »

Ancienne Poufsouffle, elle ? Elle avait encore clairement la place de préfète en chef de leur maison, plutôt. Très expressive, elle n'a pas vraiment peiné à convaincre le professeur de lui prêter quelque peu de son temps. Et encore mieux que ça, puisque dès qu'il avait une plus grosse plage horaire qu'il imaginait, elle lui proposa de lui faire visiter le château, et il accepta.

Elle lui présenta d'abord le sous-sol et les cachots, expliquant la disposition de salle salles communes, et les endroits utile a connaître pour le nouveau venu. Elle ne manquera pas, de lui glisser au creux de l'oreilles dans une confession secrète, quelques endroits intéressants ( mais surtout, les plus dangereux a ses yeux pour la vie de ses petits protégés) a visiter après le couvre-feu.

Elle s'arrêtera bien évidemment devant l'infirmerie aux premiers étages, lui indiquant qu'elle se trouvera la plupart du temps dans cet endroit, ou dans les cuisines en finissant avec une pointe d'humour dans un plaisir coupable, mais toujours dans un sourire d'une malice bienveillante. Elle n'oubliera pas de passer devant la salle de classe du professeur au second et les toilettes de Miss Warren. Elle ne détaillera pas vraiment cette tragique histoire d'elle-même.

Le troisième étage se ferait présenter de sa célèbre salle des trophée, mais le couloir de celui-ci reste vide d'élève. Elle ne souhaiterai pas dire d'elle même la raison, et pour cause, il s'agit de l'étage des retenues. Comme tous les autres, elle avait entendu la sanction tomber, elle nous voulait pas à nouveau éveiller un sentiment de colère chez le jeune homme. Elle passera cet étage en se contentant d'exposer les galeries d'exposition.

Le quatrième étage sera d'ailleurs un peu plus rapide, puisqu'il est consacré uniquement à la bibliothèque de l'école qu'elle n'oublie pas de désigner et de faire l'éloge. Quant au cinquième, elle s'y arrête davantage. Ici se trouve de nombreuses salles abandonner que les élève occupe parfois en temps de couvre-feu, ou encore pour se trouver des endroit calme pour étudier en paix. Elle parlera également de la fameuse salle de bain des préfet qui est une légende pour beaucoup d'élèves encore...Mais elle ne dira pas si la légende est vraie ou non, laissant une grande part de mystère se trouvant a l'étage suivant.

L'étage qui suit et l'étage des divers salle de réunion de clubs qu'elle énoncera en passant devant chacune des portes en glissant l'information aux oreilles du professeur son ancienne appartenance au club de musique. Il n'en avait pas encore eu l'occasion, mais elle se présenterais sûrement bien vite pour qu'ils se rendent compte en coin cette information n'est aucunement étonnante. Onixya aurait elle-même fait partie de la chorale de son temps en avouant qu'elle avait toujours adoré participer à la cérémonie de la veille au soir.

Le septième étage est aussi assez rapide a visiter pour eux. Elle passe devant les deux point d'accès des deux salles commune restante pour lui en montrer l'emplacement et c'est devant la salle commune de Gryffondor qu'elle s'apprête à conclure cette longue visite.

"Maintenant, je vais vous montrer mon endroit favori."


Elle invite le professeur Wyatt a la suivre d'un sourire toujours aussi chaleureux pour le conduire dans la tour d'Astronomie. Le ciel était plutôt dégagé en ce début d'après-midi et il faisait encore très bon. Elle s'avance lentement devant la rembarque sur laquelle elle pose ses mains très fine, douce aux ongles teint dans sombre parfait. Ils avaient tous les deux la vue sur l'ensemble du domaine et après quelques instants à l'observer elle même, elle se tourne vers Yöan.

"C'est ici que je viens quand mes nuits sont un peu agitées ou que j'ai besoin de libérer mon esprit."

Elle offre a ce moment la un regard légèrement coupable, traduisant ses véritables intentions depuis le début. Elle avait vu la sur-charge émotion du jeune professeur qu'elle voulait de toute évidence apaiser, mais juste après, elle continue.

"...Et c'est aussi l'endroit préféré de nombreux Serdaigle, et des jeunes couples qui se forme aux seins de nos cher petits protégés pour profiter du romantisme qu'offre le ciel étoilé, je suppose."

Cela faisait partie des endroit qu'elle ne conseille pas forcement au professeur de visiter la nuit. Elle était plutôt pour laisser ses couples se retrouver tranquillement dans cet endroit, mais le nouveau professeur fera bien ce qu'il veut.

"D'ici, nous pouvons voir l'ensemble du domaine de l'école. Je trouve que c'est un endroit vraiment magnifique, n'êtes vous pas d'accord ?"

Elle détache ses mains du bord, pour joindre à nouveau ses mains le long de son corps et de se retourner totalement vers le Professeur dans un sourire doux.

"...Alors ? Auriez-vous des questions sur notre visite, ou même sur ce château ? Je me ferais un plaisir d'y répondre."


Il n'y avait aucun doute possible, cette jeune fille aimait cet endroit et c'était très profond. Elle en parlait, le présentait et le laissait découvrir la nouvelle venue dans un amour nostalgique et une tendresse rare. C'est l'endroit ou elle a grandit et elle ne l'a pas vraiment oublié.  

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Jeu 23 Avr 2020 - 15:09

Tendresse et Chocolat
Dire que son humeur était maussade était un doux euphémisme. Son cerveau tournait à plein régime depuis la divine intervention de sa cadette, lors du banquet de début d’année. Des hypothèses toutes plus invraisemblables les unes que les autres se cumulaient ou s’annulaient tant et si bien qu’il n’arriva pas à profiter d’un sommeil digne de ce nom. En même temps, comment aurait-il pu espérer en profiter en sachant dans quel pétrin c’était mise sa sœur. Encore… Quoique cette fois-ci, elle en tenait une bonne couche. S’il ne la savait pas un minimum dotée d’intelligence, il mettrait son intervention sur le compte d’une stupidité sans nom… Sauf qu’elle était loin d’être idiote. Il y avait autre chose et le fait de ne pas parvenir à mettre le doigt dessus lui faisait littéralement sortir les yeux de la tête. Elle lui avait pourtant juré de se tenir à carreau cette année… Et il l’avait cru en plus ! Au final, c’est sûrement lui le crétin de la fratrie. Il s’était promis de la protéger envers et contre tout mais son petit doigt lui soufflait qu’il allait en chier. Bien plus qu’il ne l’imagine d’ailleurs.

Yöan ne prit même pas la peine de goûter le plat apparut un peu plus tôt sous ses yeux. Il semblait succulent mais sa mauvaise humeur lui coupait tout simplement l’appétit. Il joua un peu avec les différents aliments, les poussant d’un côté puis de l’autre de son assiette à l’aide de sa fourchette. De temps à autre, il répondait aux questions que pouvaient lui poser les autres professeurs –plus par politesse que par intérêt. C’est un Wyatt après tout. Il a un minimum d’éducation… Même si cette dernière semblait être sortie de la tête de Tabata, étrangement. Foutue gosse ! Les rouages de son cerveau tournaient à plein régime et l’agaçait un peu plus à chaque seconde. Il comptait bien la convoquer dans la journée, qu’importe son emploi du temps surchargé. Elle n’avait pas d’autre choix de d’accepter, de toute façon. Avant ça, par contre, il comptait bien s’allumer une clope et noyer ses poumons sous la fumée réconfortante.

Ou non ? Une autre source de réconfort, bien différente dans le cas présent, venait de se poster juste devant lui. Une ravissante créature aux courbes affolantes, parée de noir des pieds à la tête… Il n’avait jamais vu de femme pareille de sa vie et en fut tout de suite intrigué. Son style vestimentaire était unique, sombre et pourtant elle lui paraissait tout à fait rayonnante. Un bout de soleil plus blanc que neige… Etait-ce seulement possible ? La sorcière se présenta à lui d’une façon chaleureuse, bien que trop formelle à son goût. Il allait devoir s’y faire, malheureusement.


« De même mademoiselle Wintersong. Je me ferais un plaisir de partager votre compagnie. »


Et votre lit. Oups. Au moins, il garda cette pensée secrète. Comme quoi, tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler pouvait être utile. Si seulement Tab’ pouvait en prendre de la graine. Il salua d’un simple geste de la tête ses nouveaux collègues et rejoignit l’intrigante. Peut-être pourrait-elle lui permettre de sortir cette fichue histoire de sa tête, l’ombre d’un instant ?

La sorcière prit soin de lui faire visiter les coins et recoins du château, ce qui s’avéra  extrêmement utile en plus d’être incroyablement plaisant. Elle semblait avoir une anecdote pour chaque endroit et attachait une grande importance à ce château. Sûrement autant que lui avec sa propre école. Il ne manqua pas de rire lorsqu’elle lui présenta son lieu de travail ainsi que son habitude de traîner dans les cuisines.


« C’est un défaut tout à fait raisonnable, je trouve. »


Pour sa part, il était loin d’être un ange et les cumulait plus que de raison. Son petit air coupable lui arracha un rictus avant qu’ils ne poursuivent leur aventure. Il eut un intérêt certain pour le quatrième étage. Des salles laissées sans aucune surveillance ? Bien entendu que les étudiants allaient en profiter. Il aurait fait la même chose, à l’époque. Allait-il s’amuser à les débusquer ? Sûrement pas. A moins qu’ils ne le dérangent auquel cas, il se fera un plaisir de débarquer.

Ils gravirent de nouvelles marches et finirent par atteindre la tour d’astronomie. Le sorcier plissa légèrement les paupières lorsque le soleil vint fondre sur ses yeux clairs et battit des cils pour s’accommoder. Il ne lui fallut que peu de temps pour rejoindre la divine sorcière et croiser ses bras sur la rambarde. Il se laissa aller et contempla un instant la beauté du paysage, non sans laisser ses prunelles azurées glisser nonchalamment vers une source d’intérêt plus charnelle.  


« Je les comprend parfaitement. Cet endroit est tout simplement parfait. Nous en avions un semblable à Beauxbâtons ou nous pouvions roucouler sereinement. »


Lui le premier, même s’il glissait volontiers ses mains baladeuses au détour des couloirs au risque de se faire taper sur les doigts par Madame Maxime. A ces souvenirs, un sourire nostalgique apparut sur ses traits, se transformant peu à peu un air complice.


« Vous semblez réellement apprécier cette école. En seriez-vous une ancienne élève ? J’en mettrais ma main à couper. »


La déduction était relativement facile, en même temps. Le risque n’était pas si grand que ça.


« Et si vous me parliez un peu de vous ? J’ai cru comprendre que le club de musique éveillait un petit quelque chose chez vous ? Votre timbre de voix était tout à fait adorable, lorsque vous en parliez. »


C’est qu’il peut y mettre les formes, quand quelque chose l’intéresse vraiment. Ou quelqu’un.          
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Jeu 23 Avr 2020 - 17:05
♫ Tendresse et Chocolat ♫
Il n'y avais pas a dire, elle trouvait la compagnie de ce jeune professeur très charmante. Il semblait réceptif a tout ce qu'elle pouvais dire, et sourire au moment ou elle voulais le débarrasser progressivement de ses idées noires. C'est une véritable éponge à sentiment et plus il semble se détendre, plus elle semble encore plus rayonnante. D'autant, qu'elle constate, qu'ils sont tout deux dans la même tranche d'âge et elle ne voyais pas de mal a tisser des liens d'amitié avec les membre du personelle de son foyez, comme une grande famille. Elle avait un peu de mal a casser la forme de respect qui s'était installer entre elle et tous ses anciens professeurs de l'école qui ont participer également à sa propre éducation, mais se sentait plutôt comme une petite fille qui avait rejoint l'entreprise familiale avec toute la fierté du monde.

Du haut de la tour, le professeur pouvait largement profiter de la pause que l'infirmière lui offre après leurs visites.

« Je les comprend parfaitement. Cet endroit est tout simplement parfait. Nous en avions un semblable à Beauxbâtons ou nous pouvions roucouler sereinement. »

Elle fut un instant très surprise, mais pas du tout désagréablement. Il semblait avoir la communication facile, et la jeune femme adore échanger. D'autant que ce n'était pas avec n'importe qui, et c'est en ça, que cela la surprenait, d'ailleurs. Les Sang-pure sont généralement très fermées envers ceux qu'il ne connaisse pas pour ne pas commettre de faute sur la nature du sang de leurs interlocuteurs. C'est une occasion qu'elle ne ratera pas de son côté. Elle se tourne alors vers lui, sans pour autant se couper de l'agréable vu qu'elle observe, se montrant tout aussi ouverte que lui a cet échange.

Elle est de nature curieuse, pas au point d'en être un défaut, mais elle en savait très peu sur l'ancienne école de son collègue et a son grand plaisir, il en parlait avec une nostalgie bienveillante. Elle pouvait très probablement se tenter à ce genre de question et cela arrivera a un moment ou un autre.

Elle avait lâché un rire discret, mais mélodieux a la remarque du professeur.

" C'est amusant d'entendre les similitudes des habitudes des élèves entre différentes écoles. Attendrissant, aussi. "


Elle non plus, n'avais pas peur de dire les choses, enfin, elle prenait tout autant de risque. La jeune femme semble facilement livrer ses sentiments que se soit du bout de ses lèvres ou par son attitude et ses expressions, et si elle jouait un jeu, elle le jouait particulièrement bien tant son innocence était crédible.

« Vous semblez réellement apprécier cette école. En seriez-vous une ancienne élève ? J’en mettrais ma main à couper. »

Elle hoche sa tête en souriant, il ne fallait effectivement pas être un grand observateur pour le remarquer.

" Je vois qu'on ne peu rien vous cacher, a vous." Dit-elle avec une pointe d'amusement dans le regard et dans la voix. "J'étais ancienne élève et préfète de la Maison de Poufsouffle, ainsi que l'une de leurs Poursuiveuse. C'est ici que j'ai grandit, que j'ai rencontrer de fantastique personnes également...difficile de ne pas s'attacher a cet endroit quand les choses son ainsi, vous ne trouvez pas ?" Son ton c'était adoucit et devenait chargé d'une certaine tendresse en parlant de son passé et de son expérience entre ses murs.

Une information qui pouvait être tout à fait surprenante vu l'élégance de la jeune femme qui ne semblait pas du tout avoir un intérêt pour ce genre de chose, et pourtant, il faut la voir voler pour se rendre compte de son talent dans le domaine. Qui aurait cru que cette jeune femme n'avait pas peur des sensations fortes ? Non seulement, elle n'en avait pas peur, mais en plus, elle aimait régulièrement prendre une bonne bouffée d'adrénaline.

« Et si vous me parliez un peu de vous ? J’ai cru comprendre que le club de musique éveillait un petit quelque chose chez vous ? Votre timbre de voix était tout à fait adorable, lorsque vous en parliez. »

Le jeune professeur la surprend d'avantage à ce moment, et elle ne pu s'empêcher de le montrer en haussant un sourcil, mais il suffit de voir son sourire pour comprendre que c'est à nouveau une surprise des plus agréable. Elle avait trouvé un camarade tout aussi bavard qu'elle, peut-être que cela irai plus loin qu'une simple visite de l'école cette histoire ? Cette optique la rendait encore plus pétillante, on ne pouvait que de lire son enthousiasme dans son regard.

"Que pourrais-je vous dire que je ne vous ai pas déjà dis...Mh..."


La jeune femme pose son index sur sa propre joue, et regard en l'air les yeux perdus dans ses pensées et son index battant le rythme d'un son absent de la réalité. Elle finit par décider de conserver le sujet de sa question sans perdre sa jovialité.

"C'est toujours agréable d'entendre une chanson, enfin... Je ne connais pas beaucoup de personne qui déteste la musique a se point là. Elle permet a ceux qui écoute de se laisser transporter dans une histoire, et a celui qui la créer de libérer toute sorte de chose enfouis en lui."

Puis elle lui offre un petit regard très malicieux comme elle sait si bien le faire à ses élèves.

"Et ne vous en faites pas, vous aurez mille et une occasion de m'entendre chanter. Je le fais bien plus souvent que vous ne pouvez l'imaginer !"


Elle lâche un nouveau rire discret et délicat, riant des expression qu'elle lit sur le visage des passant lorsqu'il croise en pleine rue cette jeune femme se prenant continuellement pour l'actrice vedette d'une comédie musicale. Leurs ignorances sur le sujet ne l'a jamais déranger et par chance, elle n'est jamais sur des commentaires ou des gens très haineux à ce sujet. Une bizarrerie parmi ce monde, une femme qui de part son existence rendrait peut-être la vie un peu plus magique, même parmi les Moldu.

"À mon tour maintenant." Annonce-t-elle sans perdre ce je ne sais pas quoi dans son regard. "Est-ce un rêve pour vous de faire carrière dans l'enseignement ? Faisiez-vous quelques choses d'autre avant de rejoindre notre grande famille ?"

A nouveau, la jeune femme joint ses mains devant elle, le long de son corps, il a toute son attention, tout aussi intéressé a découvrir son interlocuteur, qu'il semble l'être envers elle. Ce n'est pas habituel, et elle en est très heureuse de voir le potentiel a lier une nouvelle amitié.  

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Dim 26 Avr 2020 - 15:49

Tendresse et Chocolat
Le tout jeune professeur répondit au rire de la sorcière par un sourire. Elle paraissait très accessible et son rire était on-ne-peut plus communicatif. Sans doute y aurait-il ajouté le sien à la partie si ces pensées n’étaient pas si sombres. Tabata… Cette gosse aura sa peau un jour ou l’autre. En revanche, chaque chose en son temps. Il comptait bien profiter de ce petit interlude avant d’accueillir le démon dans son bureau.  


« J’ai été époustouflé par le ciel de la grande salle. Nous n’avons rien de semblable à Beauxbâtons. »


Yöan entreprit alors de la questionner  sans pour autant se défaire de son sourire. Charmeur ? Peut-être bien. Elle ne semblait pas s’en offusquer puisqu’elle lui répondit avec entrain. Peut-être même avec plaisir ? Allez savoir. Il fut amusé par le ton affectueux elle utilisait, comme si cette école était une vieille amie à elle.


« Je suis bien heureux de ne pas avoir été scolarisé à Poudlard alors. J’étais la terreur de nos surveillants. Je n'aurai pas aimé être la votre. »



Cette fois-ci, il se mit à rire de bon cœur. Il faut dire que les souvenirs qui lui revenaient en tête étaient excellents. Ah ! Quel bordel il avait pu mettre dans cette chère école…


« Est-ce que vous enfourchez encore un manche de temps à autre ? »



Il lui fit un sourire tout à fait innocent –ou pas, désirant simplement en apprendre plus sur la poursuiveuse. Les adultes pouvaient-ils utilisés le terrain de Quidditch de l’école ? C’était une bonne question ça… Lui n’était pas aussi féru de match, préférant plutôt les pointe de vitesse et les virevoltes que le travail en équipe. Sa sœur, par contre… Elle était sacrément douée, il devait bien le reconnaitre. Minute. Stop. Demi-tour. On s’occupera de son cas plus tard. Revenons à la sublime créature qui se trouvait devant lui. Il la questionna de nouveau, le sujet portant cette fois-ci sur la musique. Il se contenta d’hocher la tête à la fin de son petit discours, ne pouvant décemment pas contredire de tels arguments.


« J’ai hâte d’entendre ça. Je ne vous le cache pas. »



La jeune femme décida alors de rejoindre le jeu des questions, se montrant plutôt curieuse à propos de son choix de carrière. Un nouveau rire, tout aussi franc que le premier, franchit la barrière de ses lèvres.  


« Un rêve ? Oh non, loin de là. Avant de poser mes valises ici, j’étais auror. J’ai commencé à apprendre le métier en France puis j’ai demandé ma mutation ici il y a cinq ans. »


Pour la rentrée de cette sale gosse, en fait. Il laissa ses yeux clairs se plonger un instant dans ceux de la sorcière et décida de poursuivre, se sentant étonnamment en confiance avec elle.


« J’ai tout plaqué pour devenir enseignant ici à la suite du drame… J’ai un sale sentiment vis-à-vis de toute cette histoire et mon petit doigt me hurle de rester sur mes gardes, maintenant plus que jamais. Ma petite sœur vient de faire sa rentrée en cinquième année et elle est bien du genre à se jeter tête la première dans les ennuis. »


Machinalement, le français s’empara d’une cigarette et la glissa dans sa bouche. Il ne lui fallut pas plus de temps pour l’allumer, tirer dessus et soupirer d’aise –loin de la tête de la jolie brunette, bien entendu..


« Et elle n’a pas l’air de vouloir me faciliter le travail. Exploser dès le premier soir, sérieusement… »

Il ne prit pas la peine d’en dire plus ou de la présenter, l’exploit se suffisant à lui-même.                
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Dim 26 Avr 2020 - 18:26
♪ Tendresse et Chocolat ♪ 
Il n'y a pas à dire, plus la discussion avance et plus elle ne peu trouver le comportement du professeur très charmant à son égard et elle ne manque pas de se faire la réflexion dans un sourire en regardant dans une tout autre direction. Ce serait mentir qu'elle se dise également qu'elle est privilégiaire de ce genre de parole et d'attitude en ce qui le concerne. La jeune femme sait rester lucide et garder la tête froide à ce genre de chose. Elle sait qu'au fond d'elle, elle a renoncer a beaucoup de choses, enfin, résigné serais un mot plus juste. Bien évidemment, même si elle est très réceptive et qu'elle apprécie beaucoup ce genre de moment agréable, elle semble prendre le tout avec une grande légèreté.

« Je suis bien heureux de ne pas avoir été scolarisé à Poudlard alors. J’étais la terreur de nos surveillants. Je n'aurai pas aimé être la votre. »


Un nouveau rire très amusé sort de la gorge de la jeune infirmière. Si il savait qu'elle avait eu beaucoup de mal à faire maintenir son autorité a cette époque. Au contraire, les élèves étaient soulagés que se soit elle qui leur tombe dessus. Elle ne se souvient pas avoir rapporter quoi que se soit au directeur de maison, mais en échange, elle arrivait paisiblement à faire regagner les dortoirs respectif aux petit délinquants en gardant leur secret a condition qu'il n'abuse pas de sa gentillesse. Tout le monde en abusait, elle le savait, tous, sauf un.

«  Vous auriez alors plutôt été heureux que je vous tombe dessus avec la promesse de garder vos petits secrets si vous acceptiez de regagner votre dortoir sans faire d'histoires ! »

Puis elle vient s'approcher de Yöan et se penche à nouveau a son oreille pour murmurer une nouvelle fois.

« Je suis trop Compréhensive, cela finira par me jouer des tours. »

Puis elle se recule en riant très légèrement à nouveau. Elle ne semble pas se soucier des conséquence que sa compréhension pouvais avoir, et pourtant elle en souffre déjà très en silence. Il y a un cas ou sa compréhension n'a rien su faire d'autre que d'abandonner comme une lâche. Pour elle, c'était un fardeau lourd a porter, mais elle est bien plus forte qu'elle semble fragile. La puissance de son sourire et de ses mots toujours tendre aux oreilles qui souhaite les entendre n'en ai que plus forte a chaque instant.

« Est-ce que vous enfourchez encore un manche de temps à autre ? »

Le professeur se para d'un magnifique sourire innocent. Sans celui-ci, Onixya n'aurait pas tiqué au double sens, ce qui la perturbe un peu l'espace d'un instant. Elle offre quand même un léger sourire un peu crispé à défaut d'avoir du mal a partager ce genre d'humour, mais disons qu'elle sait s'adapter, et surtout rester très au claire avec ses propres intentions a elle.

« Ça dépend lequel je dirais. »


Son regard avait une légère lueur malicieuse, elle venait elle-même de sous-entendus qu'elle était très loin d'être ce genre de fille, mais sans en perdre son sourire et ses intentions bienveillantes envers lui. Chacun est comme il est et il avait bien le droit de tenter de glisser quelques sous-entendu fallacieux si il le souhaitait, ce qui ne l'empêche pas non plus de dévoiler ses valeurs avec tout autant de subtilité, étirant un discret sourire en coin de bouche espiègle accompagné d'un clin d'œil discret. Douce, gentille, naïve, mais surtout pas idiote et encore moins fille facile.

« J’ai hâte d’entendre ça. Je ne vous le cache pas. »

On la prenait souvent pour une folle, mais elle, elle adorais chanter quand bon lui semblait, et elle s'en amusait un peu d'ailleurs. Elle préfère largement être prise pour une folle pour ce genre de chose, que pour une démence supremasiste qui impliquerai de faire du mal au personne qui l'entoure.

«  ...Et plus vite que vous ne l'imaginez, vous pouvez me croire ! »


Un nouveau rire d'auto-dérision, mais semblant s'amuser de sa propre condition de curiosité étrange.

« Un rêve ? Oh non, loin de là. Avant de poser mes valises ici, j’étais auror. J’ai commencé à apprendre le métier en France puis j’ai demandé ma mutation ici il y a cinq ans. »

Elle est prise d'un sursaut étonné dès qu'il avoue son ancien poste au sein de la société sorcière Anglaise. Son regard s'étincelle une nouvelle fois, mais son cœur quant à lui se fait frapper une nouvelle fois depuis son retour ici. La chance semble lui sourire, une opportunité pour elle d'avoir de ses nouvelles. L'opportunité aussi d'enfoncer elle-même le poignard dans ses regrets et sa culpabilité. Même si son visage semble être devenu d'une lumière rare, il y a une forte inquiétude qui se lit dans son regard pourtant plein d'étoile.

«  Cinq ans ? Dites-moi...Vous devez peut-être connaître un de mes anciens camarades ? Il s'appelle Lévine Serger. Cela fait fort longtemps que je n'ai pas eu de ses nouvelles, j'espère qu'il va bien. »

Ou plutôt, elle espérait qu'il aille «mieux. » Elle a du mal a se dire qu'elle l'a réellement laisser tomber, mais pourtant, cx'est ce qu'elle a fait même si elle essai de se raccrocher au branche en essayant d'avoir de ses nouvelles par d'ancien camarade, de temps a autre. Elle a sans aucun doute, beaucoup de mal avec cette décision de facilité.

Alors qu'elle commençait à sentir à nouveau la douleur de son âme, Onixya la force rapidement à se taire temporairement, car le temps de la libération était venu pour le jeune professeur. Elle se tait et plante alors son regard dans le siens. Il a non seulement toute son attention, mais elle fait preuve d'une écoute minutieuse.

« J’ai tout plaqué pour devenir enseignant ici à la suite du drame… J’ai un sale sentiment vis-à-vis de toute cette histoire et mon petit doigt me hurle de rester sur mes gardes, maintenant plus que jamais. Ma petite sœur vient de faire sa rentrée en cinquième année et elle est bien du genre à se jeter tête la première dans les ennuis. »

Il marque une légère pause pour reprendre de quoi s'enfumer et se détruire la santé. Un geste qu'Onixya ne manque pas à traduire que le sujet était responsable d'une part importante des angoisses du professeur. Ce n'est pas la seule chose qu'elle comprend cependant. Elle est face à un protecteur comme elle. Lui aussi a senti quelque chose ce qui ne fait que de donner raison à la présence de la jeune femme face a lui.

« Et elle n’a pas l’air de vouloir me faciliter le travail. Exploser dès le premier soir, sérieusement… »

À nouveau, elle s'approche de lui, cette fois pour saisir sa main libre entre les deux sienne. Un geste qui ne veut pas dire grand chose, mais qui est noté d'une grande tendresse, un réconfort d'une étrangère qui fait simplement plaisir, lorsque l'on y traduit le soutiens qu'elle tente de transmettre au travers de ce toucher. Elle conserve ses mains, et adoucit le timbre de sa voix, prenant ses inquiétudes avec sérieux et implication.

«  Miss Wyatt est donc votre jeune sœur. Je comprends mieux comment vous vous sentez... »


Un court préambule certes, mais bien loin d'être la seule chose qu'elle va dire à ce sujet.

«  Pour vous, c'est le premier soir, tout comme pour moi. Mais je doute que cette explosion ne soit qu'une impulsion. C'est une accumulation et vous-même, vous partagez ce sentiment. Il y a un je ne sais quoi dans l'air depuis que Monsieur Potter a commencé ses études à Poudlard. »

Elle baisse doucement son regard vers sa main piégé entre les siennes, pour étirer un doux sourire avant de poursuivre.

«  Vous pouvez vous dire que je me fais l'avocat du diable, mais elle ne vois probablement pas le problème que le professeur Ombrage nous pose a nous. Elle lui pose un problème bien différent, d'ou l'attaque personnelle qu'elle a commise hier soir. »

Elle secoue doucement la tête à la négation, sans s'arrêter en si bon chemin.

«  Je ne suis pas en train de lui donner raison, mais je suis ravie qu'elle n'est pas été renvoyer. Elle est jeune, et tout ca la touche probablement plus qu'elle ne voudrais qu'on le sache. Mais pour être tout à fait honnête avec vous... »

Elle marque une légère pause, avant de passer à un aveu.

«  J'ai été effrayé quand sa camarade a pris la parole, avant que votre sœur n'éclate. Sans son intervention, c'est probablement moi qui aurais eu des mots fort pour éviter qu'elle s'attire les foudres de cette femme qui me fait de plus en plus froid dans le dos...Plus en douceur, je vous l'accorde. »

Autrement dis, la tension n'a pas été lancée par Tabata de son point de vue, mais d'Ombrage elle même ce qui a pousser a certaine réaction et qui aurait très bien pu créer une forte réaction en chaîne. Tabata a su mettre tout le monde d'accord au moins et couper cours au débat. La force d'Onyxia est de voir le bon côté des choses... Même quand il n'y en a pas forcement.
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Dim 3 Mai 2020 - 19:09

Tendresse et Chocolat
Yöan appréciait beaucoup cette étonnante rencontre. La sorcière s’avérait être on-ne-peut plus intéressante en plus d’être tout à fait agréable à l’œil. Elle semblait être capable d’une grande douceur tout en étant dotée d’un humour assez… Mignon ? Qu’importe. Elle réussissait à le faire sourire sans le moindre effort et Morgane sait que c’est diablement compliqué au vu des circonstances actuelles. Le sujet ne tarda pas à être mis sur la table, d’ailleurs. Il ne tenait pas particulièrement à faire étalage de sa vie privée ou plutôt du bordel de cette dernière mais les mots sortirent tous seuls de sa bouche. Comme ça. Naturellement. Onixya était véritablement surprenante. Il commença par lui relater sa carrière d’auror, de sa formation sur le territoire français et de sa mutation il y a maintenant cinq ans. Pour Tabata. Cette dernière sembla bondir sur cette dernière information, ce qui aurait pu facilement faire rire le sorcier. Il faut dire que l’inquiétude qu’il lisait dans ses prunelles délicieuses n’était pas pour lui plaire. Pas du tout. Il s’empressa de la rassurer du mieux qu’il le put. Ce n’est pas vraiment comme s’il était doué pour ça, en même temps.


« Serger ? Oh je ne le connais que trop bien. C’est lui qui fut chargé de m’accueillir dans le service. Un type efficace. »


A défaut d’être un type agréable. Le brun était loin de porter ce dernier dans son cœur mais n’avait encore aucun grief contre lui. Leur entente était cordiale, professionnelle, sans plus. Il faut dire que leurs caractères sont diamétralement opposés et à trop les confronter, des étincelles pourraient apparaître.

Il continua sur sa lancée, toujours pour une raison inexplicable –peut-être l’avait-elle ensorcelée en se penchant vers lui tout à l’heure ? Bullshit. Quoique l’idée ne lui déplaise pas tant.

Ses lèvres se portaient inlassablement au tube de papier, comme une nouvelle ponctuation. La fumée marquait le rythme de ses idées sombres sans qu’il ne daigne les formuler. Pauvre femme. Elle n’était pas là pour souffrir de ses préoccupations. Il soupira plus longtemps qu’à l’accoutumé, se demandant s’il ne serait pas mieux d’interrompre ce drôle de confessionnal.

Il n’en fit rien, trop obnubilé par les doigts de porcelaines qui venaient d’attraper sa main. Il n’osa même pas bouger, de peur de voir ce contact s’interrompre ou de faire quelques maladresses. Il était curieux, aussi, de ce geste. Lorsqu’elle lui présenta la sale gosse comme étant sa sœur, il se contenta d’hocher la tête. Merde alors. Elle venait de lui couper la chique. Cette situation n’alla pas en s’arrangeant puisqu’elle se mit à  défendre sa sœur. C’était bien la première à le faire et, ce faisant, il se sentit encore plus stupide. Il n’avait rien vu. Ne voyait jamais rien. Tu parles d’un frère. Ce n’était qu’un incapable. La pression s’accentua d’un coup sur ses épaules, lui serrant le ventre et se diffusant sournoisement. Sans même s’en rendre compte, il serra son poing et sa mâchoire.


« Ombrage n’est que la face émergée du problème. Les choses vont se dégrader, c’est certain… Mais jusqu’à quel point ? Le danger plane et ne pas savoir de quoi demain sera fait est terrifiant.»



Il écrasa son mégot sous sa chaussure et le glissa dans la poche de sa veste.


« Je n’ai pas peur pour moi mais pour elle. Elle est si… Imprévisible. J’aimerai la guider, la mettre en sureté mais je ne suis même pas foutu de l’empêcher de s’attirer des problèmes aussi ridicules. Le premier jour ! Ce n’est pas comme si elle se tournerait vers moi si elle rencontrait une difficulté, de toute façon. (fr) Tu parles d’un grand frère. »

             
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Lun 11 Mai 2020 - 6:30
♪ Tendresse et Chocolat ♪ 

Gentillesse, douceur, compréhension et compassion... De grandes qualités humaines qui n'ont jamais vraiment apporter l'amitié sincère à la jeune femme. Toute ses relation ont été motivé de près ou de loin par un intérêt quelconque. Elle s'y est faite avec le temps et bien qu'elle est compris qu'elle en était pleinement responsable a se montrer très altruiste avec les un et les autres très rapidement, comme elle fait ici pour ses beau yeux. Elle ne sait comment la nature de ses sentiments est arrivée pour son ancien camarade, mais maintenant que les destins les avait séparer, elle vivait dans un profond regret, celui de ne pas avoir à réussir à faire sortir ses ailes.

« Serger ? Oh je ne le connais que trop bien. C’est lui qui fut chargé de m’accueillir dans le service. Un type efficace. »


D'abord, elle souriant dans une expiration soulagée d'entendre qu'il se portait bien, mais aussi surprise que le monde soit aussi petit. Elle trouvait cependant cela assez curieux que le sujet de son ancien camarade soit aussi rapidement expédier et il était fort possible qu'il ne voulût pas vraiment en dire d'avantage sur le sujet ; C'était étrange, mais après tout, il venait à peine de se rencontrer, quoi de plus normal de laisser des barrière devant soit a l'approche d'une inconnue aussi atypique que cette demoiselle.

Mais qu'il soit rassurer, la poupée grade ses mains délicates autour des siennes. Des mains qu'il peu serrer pour se rassurer, tirer pour s'aider a se relever ou les caresser pour profiter de l'affection que le petit ange aime beaucoup apporter autour d'elle. Tout le monde a besoin d'être entendue, écouter, protéger et guider. Il s'avère que Yöan faisait partie de ses personnes qui en avait horriblement besoin et il n'a pas fallut longtemps a la jeune femme pour connaître les raison de ses tourmente.

« Ombrage n’est que la face émergée du problème. Les choses vont se dégrader, c’est certain… Mais jusqu’à quel point ? Le danger plane et ne pas savoir de quoi demain sera fait est terrifiant.»

Le nom du danger était un murmure sombre que beaucoup n'avait pas envie de croire ou d'entendre à nouveau. Cette peur inlassable de ce nom maudit, horrifiant tout sorcier et sorcière avec un minimum d'esprit...Un nom qu'elle ne pourra pas sauver lui non plus. Elle avait cette naïveté de croire que tout n'était pas blanc ou noire et quand dans chaque être réside en lui une part d'ombre et de lumière parfois plus grande encore même si on ne pouvais sous-entendre son existence.

« C'est exacte, mais notre rôle prioritaire envers cette école ... Protéger les enfants et surtout votre chère petite sœur. Je pense que nous ne devrions pas nous éparpiller, rester prudent sur ce qui nous entoure... Mais nous ne pouvons pas faire autre chose d'autre pour le moment que de limiter les dégâts que le ministère risque d'infliger à notre bon vieux château... »

Cela pouvait être une réaction étrange, mais la suite de la confession du jeune professeur, la fait tendrement sourire.

« Je n’ai pas peur pour moi, mais pour elle. Elle est si… Imprévisible. J’aimerais la guider, la mettre en sûreté, mais je ne suis même pas foutu de l’empêcher de s’attirer des problèmes aussi ridicules. Le premier jour ! Ce n’est pas comme si elle se tournerait vers moi si elle rencontrait une difficulté, de toute façon. (fr) Tu parles d’un grand frère. »

Ses derniers mots en français, bien qu'elle ne les ai absolument pas compris va la faire rire très légèrement puis délicatement, elle lui tapote gentiment la main.

«  Cela n'a rien a à voir avec l'incompétence Monsieur Wyatt rassurer-vous. Vous pourriez être un homme parfait que vous ne vous débarrasserais jamais de ce sentiment. Vous avez beaucoup d'amour pour elle, je peu le sentir et comme vous le savez, l'amour rend aveugle. »

Elle n'avait pas encore eu l'occasion de discuter avec sa cadette encore et ne la connaissait pas du tout, mais ce qui était rassurant, c'est d'entendre qu'elle avait tout de même du soutien parmi les siens.

« ... Souvenez-vous, a son âge, n'avez vous pas connue une perte de confiance vers le monde des adultes ? Cet âge ou vous vous sentiez libre et invincible jusqu'à ce que vous ayez pris suffisaient de claque au visage pour comprendre que ce n'était pas le cas. »

La jeune Wyatt ressemblait déjà presque à une jeune femme. Personnellement, Onixya lui aurais donné un, ou deux ans de plus très facilement en la jugeant uniquement sur son apparence. Tabata était une très jolie jeune fille qui porte un héritage avec elle. Pour la cartomancienne, elle ne pouvais qu'en partie connaître ce sentiment de pression sur ses épaules, car le peu qu'elle allait obtenir de sa mère adoptive la faisait angoisser.

« ...Et souvenez vous a quel point on désire à cet âge là qu'un adulte vous soutienne ? Cette envie de trouver une grande personne en qui on a envie de croire et de suivre... »

Le métier d'Auror est un métier risqué. Il faut avoir beaucoup de courage et combativité pour rejoindre leurs rangs. Certes, il n'y avais pas vraiment que des adultes mature et responsable a l'intérieur, mais la difficulté n'en était pas moindre. Si Yöan avait pu aller jusque là, elle était convaincue qu'il pourrais parvenir a rester souder avec elle.

« ..Et... »

La jeune femme se met a sourire en coin très légèrement, laisser trainer son dernier petit bout de flamme alors que son regard voit le retour de la fée Malice. Elle veut détendre l'atmosphère sans pour autant changer leurs sujets de discutions. Elle veut revoir au moins un sourire sur son visage. D'un ton très léger et la voix résistante a ne pas s'envoler vers une mélodie plus élaborée, elle dit sous le temps d'un murmure de confidence.

« ...Mes pouvoir extra-sensoriel me disent que vous pourriez y arrivera condition que vous vous re-la-xiez.. ! ♪ »

Elle appuis de trois tape tendre à nouveau sur sa main les syllabes de son derniers mot, pour ensuite aller cherchez ses yeux des siens. Toujours dans un sourire étendue, la petite Fée est rentré dans sa maison, transporte avec lui une certaine sérénité. Elle ne souhaite pas qu'il souffre avant le moment qu'il redoute tant. Il n'a pas beaucoup dormit cette nuit.

«  Vous n'êtes pas seule, professeur Wyatt. Vous et moi sommes les anges gardien de quelqu'un mais nous ne devons pas oublier qu'il doivent encore grandir et que qu'importe ce que le monde nous réserves, ils devront être prêt a vivre, a être de bonne personne. Il ne faut pas laisser le présent brûler les terres de l'avenir. »

Elle marque une très courte pause, détournant son regard du siens pour observer la vue. Les mains d'Onixya s'éloignent de celle de Yoän dans une caresse d'adieu, avant qu'elle ne se pose sur le rebord.

« Certes, nous allons devons faire un bouclier entre les enfants et le danger, mais il n'est pas encore l'heure que l'on donne nos vies pour eux. Nous avons aussi ce rôle d'éducation auprès d'eux et nous devons être beaucoup plus attentionné sur ce qui la concerne... »

Elle se tourne à nouveau vers le professeur, reprenant un sérieux harmonieux.

« ...Parce qu'il n'est pas exclus que les boucliers cède et qu'ils devront se débrouiller seul plus vite que prévue. »

Le timbre qu'elle avait donné a ses mots était si calme, si paisible qu'il ne raisonnant en rien comme une sentence, mais une possibilité précieuse a garder dans le coin de son esprit. Pourtant, au travers de son, ton sage, son regard était quand lui plus insistant, appuyant sur le fait que le poids qu'on décider de porter Yöan et Onixya était très lourd avec des conséquences importantes.

À ses yeux, leurs rôles étaient de les protéger oui, mais pas dans l'extrême. Nous devons les soigner quand ils se blesse même si c'est la cause d'une désobeïssance. Nous devons les prendre dans nos bras s'il souffre de ne plus retrouver leurs jouet favoris, car même si la maturité leur a fait oublier ses instants...On connais tous la douleur de se séparer de force de son précieux ours en peluche. Toujours, pour elle, ils doivent se sentir grandit de ses épreuves et continuer d'avancer.

Puis enfin, elle s'est mise à étirer un sourire radieux par ses jolie perle blanches et termine avec tant de sincérité et d'enthousiasme qui pourrais souligner une grande candeur.

« Je suis très heureuse de ne plus être seule, tu sais ? »

Elle tente cette fois de totalement briser la glace qui pouvait potentiellement exister entre le professeur et l'infirmière, d'un claquement de doigts imprévisible tant il était évident.


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