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[19/11/95] Red Revenge | Sam & Léo & Jules

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Mar 9 Fév 2021 - 14:44



Red Revenge
Feat. Samantha & Léonardo

Dimanche 19 Novembre 1995

Le week-end avait enfin fini par ponctuer la longue semaine qui venait de s'écouler. Quoique peut-être moins longues que les deux autres l'ayant précédé. Novembre s'était enclenché sur une note étrange, amer et déroutante, mais depuis son interrogatoire, ce lundi, Jules avait l'impression de réapprendre à respirer. Comme si Charles Clifton lui avait donné la clé pour sortir de la bulle cloisonnée dans laquelle elle s'était isolée. Une bulle comme une boîte de carton emplie de questions sans réponses, de souvenirs hantant les murs de leurs clichés sépia, de fils rouges en toile d'araignée sur une énigme dont il lui manquait des parties de l'intitulé. L'entretien avec l'Auror lui avait permis d'exprimer ses interrogations, de les exposer oralement et, surtout, de se libérer du poids que représentait l'absence des réponses. Comme si elle avait délégué ce poids, acceptée que l'enquête n'était pas la sienne. L'inspecteur Clifton le lui avait fait comprendre par ses mots inattendus au-devant de ses allures glacières : son rôle n'était pas celui d'une Auror mais d'une enfant se devant de profiter des derniers soupçons de son insouciance.

Alors, Jules Murphy avait décidé de s'accorder du repos. De s'autoriser à mettre de côté, pendant un temps, sa recherche insatiable de justice dans des combats qui la dépassaient pour se recentrer et retrouver le plaisir des joies simples du quotidien. Mais cela ne signifiait pas pour autant se laisser aller à l'inactivité ! Non, l'hyper-activité de la deuxième année teintait le terme « repos » de multiples taches vivaces. Objectif du week-end : se vider l'esprit. Comment ? Dans une farce évidemment ! Et quelle farce se trouvait depuis un mois dans le top de sa liste ? Sa vengeance organisée des vils Serpentards, pardi !

Alors, la veille, c'était Sam et son grand frère, Léo, qu'elle était venu tirer du coude dès le réveil : qu'attendaient-ils donc encore pour se mettre à l'action ? Rien, visiblement. Alors, en une soirée, le plan d'attaque fut bouclé.

La question cruciale avait été : à quel moment de la journée, l'appel du sucre se faisait-il le plus insistant ? Ils s'étaient vite mis d'accord : à l'heure du goûter. Milieu d'après-midi, à mi-distance entre deux repas, quand l'ennui et la gourmandise s'alliaient en duo diabolique. Ce fut donc le créneau choisi pour leur attaque.

Dans un couloir plus ou moins isolé des cachots, non loin de la salle commune des Serpents, Jules répéta une dernière fois le plan d'action à ses deux acolytes :

- Sam et moi, on se poste dans le couloir là-bas – son bras se leva à l'horizontal vers sa gauche -, on met nos masques d'anonymat et on simule une joyeuse, innocente et philanthropique distribution de bonbecs. Toi Léo, tu te postes dans le couloirs adjacent, caché derrière la statue de chevalier qui se trouve au bout et tu lances de tout aussi joyeux, innocents et philanthropiques... maléfices.

La bouille de la rouquine se déforma de malice dans un petit rire mesquin.

- On est paré ?

La Née-Moldue présenta son poing aux deux autres dans l'attente d'un check de confirmation. Ensuite, il lui suffirait de descendre sur ses yeux sournois son masque d'ours fait-maison, et d'entrer en scène, son bol empli des Oursons Changeants rouges d'Eileen à l’affût des mains gourmandes des Serpentards de passage.

☾ anesidora
Jules Murphy
Admin idéaliste
Jules Murphy
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Mer 3 Mar 2021 - 3:41
C’était par un samedi soir de novembre, alors qu’elle était profondément endormie que Jules Murphy était venue la réveiller. Elle avait mis du temps à émerger, temps que Jules avait mis à profit pour aller réveiller Léo et ils s’étaient retrouvés dans la salle commune pour planifier une vengeance. Quelques temps auparavant, Sam avait été la cible des Serpentard. Ses cheveux et ses vêtements colorés en vert en argent et sa façon de louer les Serpentard avaient fait rire Jules, mais elle était convenue qu’il fallait se venger. Elles l’avaient admis alors même que Sam était encore victime du maléfice.

Et quand elle en avait parlé à Léo, il avait aussitôt accepté de participer à la vengeance. En même temps, on ne touchait pas à sa petite sœur, c’était une réalité qui avait toujours été et qui serait probablement toujours. Et du coup, Jules l’avait réveillé aussi et ils avaient mis au point un plan. Avant de se rendormir, Samantha s’était répété point par point tout ce qu’ils avaient prévu. C’était un plan qui ne pouvait que fonctionner et les Serpentard allaient voir ce qu’ils allaient voir. Elle s’était endormi le sourire aux lèvres en imaginant tout cela et en prévoyant le pire… pour eux.

Et voilà qu'ils se retrouvaient dans un couloir de l'école, prêts à en découdre avec les Serpentard. Ou plus exactement prêts à leur donner tout ce qu’ils voudraient, du moins en apparence. Munies de masques, Sam et Jules distribueraient des bonbons qui transformeraient les Serpentard qui passeraient de la même manière qu'ils avaient transformé Sam à cette funeste occasion. Et ensuite, Léo qui était plus puissant, se chargerait des maléfices qui feraient que les Serpentard allaient regretter longtemps ce que certains d'entre eux avaient fait à Sam.

« Moi je suis parée ! » s'écria Sam, en checkant et en levant bien haut le masque qu'elle allait porter. « Ils vont voir ce qu'ils vont voir. On ne se moque pas impunément des O’Neill, pas vrai frangin ? »

De tout temps et de tout lieu, même quand ils n'étaient pas d'accord en tout, Léo, Beth et Sam s'étaient toujours soutenus et épaulés et avaient toujours fonctionné comme une unité tous les trois. S’en prendre à l'un d'eux, c'était se prendre à toute la fratrie. Et même si Beth ne participait pas à la blague du jour, c'était aussi en son honneur que Léo et Sam s’apprêtaient à venger l'affront qui avait été fait à la benjamine de la famille. Il était temps de se mettre en place et de commencer les festivités. Les Serpentard n'allaient pas tarder à surgir et il fallait qu'il soit prêts. Elle mit son masque sur son visage et sourit en regardant les oursons dans son panier.
Samantha O'Neill
Membre
Samantha O'Neill

_________________
[19/11/95] Red Revenge | Sam & Léo & Jules Prsm
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Mer 26 Mai 2021 - 20:55





Red revenge
feat Samantha O'Neill et Jules Murphy






Quelques temps auparavant, un jour où Sam était venue le chercher, Léo appris la blague dont sa benjamine avait été la victime. En effet, celle-ci avait eu les cheveux colorés en vert et argent et dû dire « loués soient les Serpentards » à cause d’élèves issus de cette maison. Bien sûr, la petite Gryffondor avait crié vengeance auprès de son grand-frère et celui-ci avait évidemment promis de l’aider. On ne touchait pas à un cheveu de ses sœurs sans en payer le prix ensuite ! Et puis, il n’était pas question de laisser sa « sale gosse » préférée faire une bêtise qu’elle pourrait regretter par la suite, même pour laver son honneur.
Il pourrait donc veiller ainsi sur sa petite sœur. Apparemment, il en ferait de même avec une amie de Sam, Jules. Cette dernière était une gamine de son point de vue, mais puisqu’elle était prête à aider Sam, il ne la laisserait pas s’attirer de trop gros ennuis. Et puis, savoir que la benjamine et de la famille O’Neill s’était trouvée des amis à Poudlard rendait heureux l’aîné de la fratrie. En quelque sorte, il était rassuré pour la suite pour elle. Bientôt, il ne serait plus à Poudlard, et certes, elle pourrait se confier à Beth, mais avoir des amis de son âge était aussi une bonne chose pour elle.

Justement, la nuit précédente, Jules était venue le réveiller. Et tous deux avaient attendu que Sam les rejoigne dans la salle commune des Gryffondor. S’il n’avait pas été surpris de voir que sa sœur avait eu un peu de mal à émerger, il ne s’était pas privé de la taquiner là-dessus. Une fois tous réunis, ils avaient élaboré le plan. Ce qui n’avait pas été très long. D’autant qu’il n’était pas bien compliqué et la stratégie à adopter, assez évidente.

Et en ce dimanche 19 novembre dans l’après-midi, vers l’heure du goûter, tous trois s’étaient donc rendus dans les cachots, dans un couloir proche de la salle commune des Serpentard. Léo avait écouté le rappel de plan que Jules avait cru bon de faire, plus par politesse que par réel besoin. En même temps, il cherchait tous les sortilèges qu’il connaissait qui pouvaient être drôles dans ce contexte. Le plus amusant qu’il avait en tête semblait être le tarantallegra, même si le folloreille ou le rictusempra pouvaient être pas mal aussi. Autant varier les plaisirs de toute façon, non ?!

« Oui » répondit-il simplement à la question de Jules.

« Tout à fait, sœurette ! Ils ont fait un mauvais choix de cible ! »

Suivant l’exemple de l’amie de sa soeur, Léo présenta également son poing. Après le check, Léo parti se placer derrière la fameuse statue de chevalier, prêt à lancer un premier sort. Et quand le premier Serpentard passa, après être passé entre les mains des deux petites Gryffondor, il lança un

« Tarrantallegra ».

Il avait murmuré la formule. Oh, bien sûr, il aurait pu tenter de la lancer en informulé, mais il n’avait pas encore assez confiance en lui pour cela.



©️ Jawilsia sur Never Utopia

Léonardo O'Neill
Membre
Léonardo O'Neill
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Ven 18 Juin 2021 - 18:00



Red Revenge
Feat. Samantha & Léonardo

Dimanche 19 Novembre 1995

Les poings de la sœur et du frère O'Neill se joignirent à celui de la Murphy. Le trio était prêt. Ils pouvaient entrer en action.

L'excitation au coin du ventre, Jules rejoignit le couloir menant à la tanière des Serpents aux côtés de Samantha. Cacher leur visage derrière des masques d'animaux avait été une excellente idée car, au-delà de leur garantir l'anonymat, ils dissimulaient aussi leurs expressions, notamment le sourire fripon et les pupilles malicieuses de la rousse. La fillette se demanda d'ailleurs si son acolyte partageait cette même montée d'adrénaline euphorisante ou si elle commençait plutôt à être gagnée par l'angoisse d'enfreindre le règlement. Toutefois, du peu qu'elle connaissait la benjamine, Jules imaginait plutôt la première option et ce, sans trop de doutes en fin de compte.

Dans tous les cas, ce n'était pas l'heure de s'épancher sur leurs états d'âmes, mais bien celle d'entrer en scène. L'Irlandaise avisa un premier groupe de Serpentards arriver du bout du couloir et clama aussitôt à leur attention :

- Distribution de bonbecs gratos ! C'est du fait maison, venez les goûter !

Les élèves en question étaient au nombre de quatre - quatre garçons suivis d'une fille plus à l'écart - et, vu leur taille, ils devaient probablement se trouver dans leurs dernières années d'étude. La discussion enjouée des trois garçons s'interrompit et leurs regards se dirigèrent vers le panier d'oursons rouges et gélatineux.

- Eh bien, eh bien, qu'avons-nous là...

La voix venait du jeune homme au centre, un sorcier aux cheveux presque aussi pâles que la neige. Il s'approcha et inspecta le contenu du panier que Jules tendit davantage encore en avant.

- Promis, ils sont vraiment bons ! attesta-t-elle de la plus candide des tonalités de sa voix.

Le septième année afficha un sourire en coin et plongea sa main dans le panier pour en retirer une grosse poignée de bonbons.

- C'est ce qu'on va voir, Mam'zelle.

Il se tourna ensuite vers ses deux camarades et leur lança tour à tour un ourson. L'adolescente qui les suivait, quant à elle, fronça les sourcils en arrivant à hauteur du panier en ignorant le geste de Jules vers elle pour lui proposer les sucreries. Elle aussi, avait des cheveux d'un platine rare. Elle dépassa les trois garçons en manifestant un simple avertissement d'une voix atone :

- À votre place, je ne les mangerais pas.

Sa remarque agaça aussitôt Jules. Connaissait-elle les créations d'Eileen et la supercherie de leur recette ? Ou bien avait-elle juste un instinct surdéveloppé ? Ou peut-être encore que le buffet d'Halloween lui avait laissé un souvenir si amer qu'à présent elle voyait d'un œil mauvais toute sucrerie mise à disposition sous son nez ?

Quoiqu'il en fût, sa remarque tomba à l'eau. Sans donner plus de crédit à l'avertissement de leur camarade de maison, les trois gourmands se mirent à mâchouiller avec joie leurs douceurs du quatre heures. Ils s'amusèrent même à se les lancer en visant la bouche des uns et des autres, tout en accompagnant leur réussite de "woooh" et de "popopooo".

Puis, leur manège fut interrompu par l'écho d'un maléfice.

Un peu plus loin, la blonde perdit soudainement tout contrôle de ses jambes et se mit alors à danser, sautiller et courir en tous sens dans le couloir. Cette nouvelle mouvance contrasta tant avec la nonchalance dont elle avait fait preuve l'instant d'avant, que le comique de la situation s'en vit accentué. Jules fut la première à s'esclaffer, puis les trois élèves de Salazar se joignirent à elle la seconde d'après. Et leur hilarité était telle qu'ils ne réalisèrent même pas que l'intégralité des pigments de leur corps se teintait progressivement de rouge.

HRP:


☾ anesidora
Jules Murphy
Admin idéaliste
Jules Murphy
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Ven 25 Juin 2021 - 21:29
Red RevengeJules Murphy, Samantha O'Neill et Leonardo O'Neill


La fourrure au vent, les quatre pattes en mouvement, elle regardait les aller et venus des couloirs, perchée sur une corniche donnant sur le vide. Les beaux jours n'étaient plus. Les sorties se faisaient plus rare. Ses pupilles fendues guettaient les groupes, et ses oreilles, passaient d'une conversation a une autre. Elle s'attardait peu sur les ragots, ou les commérages d'adolescents. Elle s'était assise un moment, la queue fauchant la poussière et le museau retraçant le passage en même temps que son attention vagabondait d'une maison à son contraire.

C'est là, qu'elle les avait entendue. Ils n'avaient pas fait attention à elle. À ce félin aux lunettes zébrés sur son pelage tigré. Trois élèves chuchotant en prenant l'embranchement menant aux escaliers. Souplement, elle s'était glissée dans leur ombre, prenant acte des insignes rugissants sur leurs uniformes et des masques ornant leurs visages.

Les cachots étaient gelés et les couloirs assez peu fréquentés. Derrière une colonne, à deux pas de leur cachette, elle avait attendu. Attendu qu'ils se mettent en action, espérant secrètement que son intuition l'avait conduit sur une voie paranoïaque.

Hélas.

Camouflée par un pilier, elle avait eu une vue plongeante sur leur méfait. Les bonbons enchantés. Le trait lumineux faisant valser frénétiquement une jeune cinquième année. Filant de son piédestal, son corps s'agrandit d'un bond. Ses poils s'éclatèrent dans un tourbillon de capes. Chapeau sur la tête et air pincé, le professeur Mcgonagall porta un regard accusateur sur les trois fautifs, auxquels elle fit signe de s'approcher de l'index. Dans un raclement de gorge mécontent, elle acheva d'attirer leur attention sur sa silhouette.

- Finite, fit-elle sobrement d'un moulinet rapide, libérant la vipère du maléfice fatiguant ses jambes.

- Messieurs, je vous encourage à prendre le chemin de l'infirmerie je vous prie, les congédia-t-elle d'une voix sans appel, bien qu'un peu plus douce que la glace qu'elle renvoya aux lions la seconde suivante.

Ceci fait, elle joignit ses mains sur son ventre, mêlant ses ongles aux pans de sa tenue. Les lèvres crispées, elle aménagea un silence pesant, toisant leur accoutrement. S'ils n'avaient pas l'idée d'ôter leurs couvre-chefs, son regard finirait par les convaincre de s'y atteler sous peine d'une leçon plus longue qu'attendue.

- Je retire dix points à Gryffondor, annonça la directrice adjointe. Chacun.

Après une seconde, elle s'attarda sur le plus âgé, qu'elle jugea une dizaine de secondes.

- Monsieur O'Neill, pour usage interdit d'un sortilège sur l'un de vos camarades, vous serez attendu pour des heures de retenue toute la semaine prochaine. J'ose espérer que vous comprendrez la portée de votre acte en copiant le règlement autant de fois que nécessaire.

La sanction énoncée, elle s'en retourna aux deux jeunes filles.

- Quant à vous deux, quatre heures de retenue vous seront imposés Samedi après-midi.  

Elle soupira lourdement, les surplombant d'une œillade déçue.

- Sachez que je suis déçue de votre comportement. Bien que je n'en sois pas surprise.

Les élans révolutionnaires des cadettes ne lui avaient pas échappés le premier Novembre.

- J'attends plus de vous. Beaucoup plus. Surtout maintenant.

Elle n'épilogua pas sur son sous-entendu.

- Retournez vous excuser auprès de vos camarades.

Minerva leva l'index pour faire taire toutes protestations, d'un air sévère.

- Ceci n'est pas négociable.

De la main, elle leur fit signe de se mettre en branle. Elle les regarda traîner des pieds, soupirant d'ors et déjà de la discussion qui l'attendait. Severus demanderait plus qu'une punition conventionnelle. Et ce serait à elle de lui faire entendre le contraire.



Hors-RP

Chers fauteurs de troubles,

Les dés ont été jetés et ils n'ont pas été en votre faveur. Hélas pour vous, nous avons l'œil partout. Le Professeur Mcgonagall vous a donc surprit sur le fait, ne vous permettant pas d'attirer son attention ailleurs. Gryffondor perd donc 30 points et vos personnages écopent d'heures de retenue, que vous êtes libres, ou non, de jouer en RP. Il vous est toutefois demandé d'en tenir compte.

Vous pouvez donc réagir à la suite, mais également continuer votre RP, tant que vous ne commettez pas de nouvelles infractions. (Nous ne sommes jamais loin, hum-hum.)

Dés:

À vos plumes,
Le Maître du Jeu.

:copyright:️ 2981 12289 0
Le Choixpeau Magique
Maître du Jeu
Le Choixpeau Magique
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Ven 23 Juil 2021 - 7:33
Ce qui semblait être un bon plan de revanche plutôt bien parti ne dura pas longtemps et dégénéra en plus de temps qu’il n’en faut pour le dire. Cela commença par une distribution des bonbons qui commença à transformer les Serpentard, puis Léo les fit danser d’un sortilège. Tout fonctionnait bien et Sam savourait sa petite vengeance. Ils avaient voulu la rendre ridicule, eh bien, ils allaient le payer maintenant. Il n’était pas question qu’elle soit indéfiniment une victime, elle allait être l’initiatrice de sa jolie petite revanche, enfin avec Léo et Jules, bien entendu. C’était leur petit plan à tous les trois.

Cela avait fonctionné, plusieurs Serpentard avaient été piégés et la fillette ne pouvait pas s’empêcher de rire sous cape, mais bien entendu, cela ne pouvait pas durer éternellement et elle le savait bien. Ils prenaient le risque d’être surpris. Ils allaient sûrement devoir s’en aller rapidement pour ne pas se faire punir, mais cela en valait la peine pour se venger de ce qu’ils lui avaient fait à elle. Elle trouvait qu’ils l’avaient bien mérité, qui que soit le responsable de ce qui lui était arrivé, c’était un Serpentard. Et c’était eux qu’ils visaient, donc la vengeance serait complète.

Du moins, c’était ce que Sam pensait quand surgit la professeur McGonagall, libérant la victime de Léo de son sortilège et envoyant les leurs directement à l’infirmerie avant de les réprimander. Ce n’était vraiment pas juste. Pourquoi se faisaient-ils réprimander alors qu’elle avait subi et qu’il n’y avait eu personne pour la défendre ? Le professeur McGonagall était sa directrice de Maison, elle aurait dû être de son côté, alors quand elle leur demanda de s’excuser, c’en fut trop pour Sam qui se révolta face à l’injustice qu’elle avait le sentiment de vivre, l’injustice de devoir regretter alors qu’on avait pas eu à le faire pour elle.

« Professeur ! Il y a une semaine, ils ont piégé l’entrée de la salle commune, je me suis retrouvée toute verte à devoir dire Loués soient les Serpentards, et si vous ne me croyez pas, demandez à l’infirmière, parce qu’elle m’a soignée. Alors si je dois m’excuser de les avoir coloré en rouge, je veux des excuses aussi pour ce qu’ils m’ont fait, surtout que ce sont eux qui ont commencé. Sinon, ce ne serait vraiment pas juste, je trouve. »

Elle croisa les bras, bien décidée à ne pas en démordre. Elle ne s’excuserait que contre d’autres excuses et elle se fichait que ce soit difficile de savoir qui était les responsables d’en face. Même si c’était dur de savoir qui l’avait vraiment fait, les professeurs devaient l’aider pour ça, sinon, ça ne serait pas juste. Elle n’avait peut-être pas à se faire justice soi-même mais dans ce cas là, qu’on la lui fasse la justice.
Samantha O'Neill
Membre
Samantha O'Neill

_________________
[19/11/95] Red Revenge | Sam & Léo & Jules Prsm
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Lun 4 Oct 2021 - 21:26





Red revenge
feat Samantha O'Neill et Jules Murphy





Léo eut la fierté de voir que si la première élève de Serpentard passée devant lui n’avait pas pris la teinte rouge, car pas consommé de bonbons, elle se mettait à danser de manière incontrôlée et endiablée. Son sortilège, bien que murmuré, avait fonctionné à la perfection. De même, il vit les Serpentards suivants s’esclaffer tout en changeant de couleur. Les sucreries avaient donc rempli leur office. Mais, sa satisfaction fut de courte durée. Il s’apprêtait à leur lancer un maléfice de chatouillis, histoire de rester dans la lignée de ce qu’il estimait être une blague innocente, du sortilège drôle. Après tout, même si des verts et argents s’en étaient pris à sa petite Sam, il n’était pas question pour lui de leur faire véritablement du mal : la vengeance avait ses limites. Surtout qu’il ne s’agissait que de laver son honneur. Peut-être qu’autrement, il aurait déjà eu recours à un adulte plutôt que d’agir avec Sam et Jules.
Alors qu’il comptait donc lancer son rictusempra, il fut interrompu dans son geste par l’arrivée du professeur Mac Gonagall. Il se morigéna lui-même silencieusement de ne pas l’avoir repérée plus tôt alors qu’il avait pourtant cherché à vérifier si la voie était bien libre.
Il écouta ce qu’elle avait à dire. Oh, il se conformerait à ses décisions et il était parfaitement conscient de ce qu’il avait fait, qu’il était dans son tort au regard des adultes. Il ne pouvait juste pas laisser la blague dont sa sœur avait été victime impunie. Alors, certes, on aurait pu dire qu’avertir un professeur aurait été plus judicieux, mais il savait à quel point retrouver les coupables allait être compliqué. Il était resté silencieux. Oh, il comptait bien parler de ce qu’avait subi sa sœur, mais attendait de voir si elle le ferait et s’il l’appuierait ou si ça serait à lui de tout dire. A part cela, que pouvait-il bien ajouter d’autre ? En attendant, il faisait profil bas.

« Je me permets, professeur, de me joindre à la demande de ma petite sœur pour que vous trouviez les coupables de cette mauvaise blague dont elle a été victime et les punissiez aussi. Je suis conscient que cela ne sera pas facile et je ne dis pas que ça justifie notre attitude, mais vous pourrez comprendre, je pense, que nous souhaitions que ça ne reste pas impuni » ajouta-t-il à l’adresse du professeur, tandis qu’il la suivait.

*Enfin, ça explique ceci dit notre petite vengeance* pensa-t-il en lui-même, sachant cependant que cela n’était pas à dire.

Oh, il n’en penserait pas moins, mais s’il devait présenter des excuses, il le ferait, mais il ne se justifierait pas devant les Serpentards. Mais, il n’en penserait pas moins pour autant.

Tout en parlant il avait regardé le professeur, puis posé un regard protecteur sur la petite sœur.




©️ Jawilsia sur Never Utopia

Léonardo O'Neill
Membre
Léonardo O'Neill
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Ven 25 Mar 2022 - 18:02



Red Revenge
Feat. Samantha & Léonardo

Dimanche 19 Novembre 1995

Hilare devant leur première réussite, Jules n'envisagea alors pas une seule seconde la suite du scénario. Elle n'avait pas réfléchi au fait que les Serpentard, aussi revanchards que les Gryffondor, auraient pu sortir à leur tour leur baguette et riposter. Cela aurait très bien pu se produire. Mais ce ne fut pas le cas et ce qu'il se produisit ensuite avait encore moins effleuré son esprit.

Insouciante, Jules aurait été prête à parier qu'aucun professeur ne les surprendrait. Rares étaient ses méfaits qui avaient été pris sur le fait jusqu'à maintenant, alors celui-ci avait statistiquement peu de chances de faire exception à la tendance. Or, son propre nom de famille aurait dû la garder alerte, car aujourd'hui, c'était bien la loi de Murphy qui s'appliquait.

D'une arrivée féline, la silhouette du professeur McGonagall mit aussitôt un terme à leurs facéties. D'un Finite, elle épargna la Serpentard d'une plus longue humiliation, puis envoya aussitôt les trois garçons à l'infirmerie pour qu'il se défasse de leur nuancier coloré. Quel dommage, songea Jules, le spectacle fut de courte durée.

Puis, l'expression tranchante de leur directrice de maison se posa sur leur propre trio et Jules, malgré sa fougue rebelle, n'eut pas l'audace de soutenir son regard. Assumant sa bêtise, elle se sépara de son masque pour dévoiler son visage devant la demande muette du professeur.

Les trente points qu'ils firent perdre à leur maison crispèrent brièvement ses sourcils. Mais elle ne s'en formalisa pas plus longtemps : sa réputation n'était d'ores-et-déjà plus à refaire, les Gryffondor savaient qu'ils ne pouvaient définitivement pas compter sur elle pour redresser les sabliers. Peut-être même qu'un jour ils finiraient par la ligoter pour s'assurer de ne pas tomber dans le négatif car ce serait bien là le seul moyen de la stopper dans ses missions à hauts risques.

Les quatre heures de retenue lui arrachèrent une autre grimace discrète. Mais là encore, elle accepta la sentence sans protester, elle connaissait les risques du métier.

Quant à la déception de McGonagall, elle l'effleura à peine. Jules n'avait jamais eu pour ambition de recueillir l'estime de ses professeurs en jouant à l'élève modèle. S'ils ne distinguaient pas encore les causes valeureuses qu'elle défendait à travers ses frasques – comme le rétablissement d'un semblant de justice en ce jour-même -, elle ne doutait pas du fait qu'elle devienne un jour une grande sorcière qui agirait pour le bien du plus grand nombre, et c'est alors qu'elle pourrait apercevoir des graines de fierté dans les regards !

En attendant, il n'y eut qu'une phrase de McGonagall qui la fit réellement tiquer.

- J'attends plus de vous. Beaucoup plus. Surtout maintenant.

Comment ça « surtout maintenant » ? semblaient traduire les pupilles subitement relevées de la Murphy. Une lueur de protestation venait silencieusement de les traverser. Jules dévisagea sa directrice de maison avec incompréhension : insinuait-elle qu'elle était d'accord avec les nouvelles mesures strictes et abrutissantes d'Ombrage en les invitant ainsi à se tenir encore plus à carreau que d'habitude ? Au contraire, ils se devaient de se montrer encore plus indomptables en ces temps troubles ! Sinon, bonjour la dictature au rose !

Mais Jules ne pipa toujours pas mot. Cela ne servait strictement à rien d'émettre la moindre protestation face à cette femme intransigeante, elle l'avait vite compris à son arrivée à Poudlard. Malheureusement, sa cadette ne s'était sûrement pas encore assez frotté l'autorité de leur directrice de maison, car elle ne se retint pas d'exprimer ses protestations :

- Professeur ! Il y a une semaine, ils ont piégé l’entrée de la salle commune, je me suis retrouvée toute verte à devoir dire Loués soient les Serpentards, et si vous ne me croyez pas, demandez à l’infirmière, parce qu’elle m’a soignée. Alors si je dois m’excuser de les avoir coloré en rouge, je veux des excuses aussi pour ce qu’ils m’ont fait, surtout que ce sont eux qui ont commencé. Sinon, ce ne serait vraiment pas juste, je trouve.

Si Jules approuvait le fond des paroles de Samantha, elle n'attachait pas le même espoir à ses revendications. Qui donc dans cette école s'occupait-il vraiment de rétablir la justice entre les différentes maisons ? Sûrement pas les professeurs. Et c'était bien pour cela que Jules avait décidé qu'ils fomenteraient leur propre vengeance, plutôt que de faire appel à une autorité supérieure qui aurait eu, dans tous les cas, d'autres chats à fouetter.

Par fatalisme, Jules resta donc muette, abandonnant Samantha dans sa fougue naïve et laissant à son grand frère le soin de tempérer ses propos.

- Je me permets, professeur, de me joindre à la demande de ma petite sœur pour que vous trouviez les coupables de cette mauvaise blague dont elle a été victime et les punissiez aussi. Je suis conscient que cela ne sera pas facile et je ne dis pas que ça justifie notre attitude, mais vous pourrez comprendre, je pense, que nous souhaitions que ça ne reste pas impuni.

Le tact et le calme de l'aîné des O'Neill ne suffirent pas à dérider les traits de leur directrice de maison. Ne voyaient-ils donc pas que lorsque ces plis-là se formaient sur son front, l'heure n'était plus à la négociation ? Jules avait discrètement croisé ses doigts sur le masque qu'elle tenait, en prière muette pour qu'aucun autre point ne leur soit destitués. Certes, elle avait appris à ne plus se soucier de ces retraits, mais dix points par tête en une journée c'était tout de même suffisant.

- Ils seront réprimandés et punis en conséquence, finit par répondre McGonagall, modérant son impatience. Bien que cela n'excuse en rien votre vengeance.  Rien dans cette école n'encourage un comportement aussi peu... responsable.

Son air sévère ponctua un bref silence éloquent.

- C'est mon dernier mot. Sinon je double vos heures de retenue.

Jules acquiesça la tête sagement. Si plier l'échine n'était pas dans ses habitudes, elle savait distinguer les causes qui valaient vraiment la peine que sa fougue se déchaîne, et celle-ci n'en faisait pas partie. Certes, les Serpentard les avaient attaqués en premier, mais ce n'était que de bonne guerre et si la Murphy s'était engagée dans cette vengeance, c'était peut-être plus par espièglerie que par réelle volonté de justice. La guerre Verte et Rouge était sans fin, il s'agissait seulement de renvoyer la balle dans l'autre camp dès que l'occasion se présentait.

Alors, la rouquine appuya un regard en coin à Samantha, l’incitant silencieusement à ne pas en ajouter davantage. Sans nouvelles protestations, le professeur McGonagall finit par tourner les talons, les délaissant dans un couloir vide. La Serpentard victime du maléfice de Léonardo s'était visiblement éclipsée durant le sermon.

Jules souffla alors un bon coup et déclara enfin :

- Eh bah, ça c'est un coup de pas de chance... Fallait que McGo passe dans ce couloir pile au moment où on enclenchait notre vengeance !

Elle releva son regard vers ses deux collègues de Vendetta.

- Mais bon, je pense qu'on peut quand même appeler ça une semi-réussite, on aura au moins piégé quatre Serpentard ! Soyons fiers !

Car un Gryffondor digne de ce nom ne se devait jamais de perdre sa fierté !

HRP:


☾ anesidora
Jules Murphy
Admin idéaliste
Jules Murphy
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Lun 18 Avr 2022 - 16:25
Sam n'aurait pas trouvé ça juste d'être punie alors qu'ils n'avaient finalement pas fait grand chose et beaucoup moins que ce que les Serpentard lui avaient fait à elle. D’ailleurs, elle n'avait pu s'empêcher de crier à l'injustice au moment où le professeur McGonagall les avait punis. C’était quelque chose que Sam ne supportait vraiment pas et elle ne se sentait pas capable de laisser passer qu'on traite différemment ceux qui s'en étaient pris à elle et eux. Cela dit, il fallait rendre justice au corps enseignant de Poudlard qui n'était tout de même pas si injuste que ça dans la majorité.

D’ailleurs, le professeur McGonagall promit que ceux qui s'en étaient pris à la fillette seraient punis eux aussi, au même titre que la Gryffondor, mais cela ne diminuait pas la punition de celle-ci. Peu lui importait. Ce n'était pas la première fois que Sam allait se retrouver en retenue et ce ne serait sûrement pas la dernière. Ça ne lui faisait absolument pas peur et finalement, ces embêtants tortionnaires étaient bien attrapés, puisqu'ils seraient eux aussi, en retenue. Il n'y avait rien à dire, le professeur McGonagall savait ce que cela voulait dire d'être équitable.

Une fois son jugement rendu, elle s'éloigna, laissant les Gryffondor sans armes et avec une semi-victoire. Jules affirma qu’ils pouvaient être fiers de ce qu'ils avaient fait, même si ce n'était pas une victoire aussi franche que ce qu'ils avaient espéré. Ils avaient réussi à toucher quatre Serpentard et le résultat avait été des plus hilarants. Un Gryffondor, quatre Serpentard, voilà qui les ferait peut-être changer d'avis à l’idée de s'en prendre à ceux de leur maison. Et si ce n'était pas le cas, ce serait tant pis pour eux. La vengeance ne serait pas moins terrible la fois suivante.

« Tu as raison. Et puis, McGonagall a dit qu'ils seraient punis, eux aussi, pour ce qu'ils m'ont fait. Moi, je dis que le résultat en vaut le coup. C’est pas comme si on allait avoir peur d'une petite retenue. Et puis, c'était bien amusant. »

Elle se retourna en direction de son frère dont elle était reconnaissante parce qu'il l'avait défendue. Il était gentil, son frère, et il ne laissait personne lui faire du mal pour s'attaquer injustement à elle. Son comportement avec le professeur McGonagall en était la preuve. Il s'était associé à la voix de sa petite sœur afin de s'assurer qu'elle aurait la justice, à défaut de la vengeance. Sam était contente de pouvoir compter sur son frère dans ces moments-là, Parce que ce n'était pas qu'elle avait beaucoup besoin de quelqu'un pour la défendre, mais quand ça arrivait, ça la touchait qu'il soit toujours là pour le faire.

« Merci d'avoir pris ma défense grand frère, t'es le plus formidable grand frère du monde entier. »
Samantha O'Neill
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[19/11/95] Red Revenge | Sam & Léo & Jules Prsm
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Jeu 18 Aoû 2022 - 13:28





Red revenge
feat Samantha O'Neill et Jules Murphy





Léo avait pris le risque, malgré l’humeur massacrante du processeur MacGonagall de demander justice pour sa sœur. Il n’avait nullement cherché à justifier ni à excuser leur attitude. Mais, il avait confiance dans le sens de la justice de leur directrice de maison. Et s’il y avait moyen de punir les Serpentards qui s’en étaient pris à sa petite sœur, maintenant qu’elle connaissait toute l’histoire, il comptait sur elle pour y donner suite de ce côté-là aussi. Il souffla intérieurement quand le professeur lui en eut donné l’assurance.
Il ne reprit la parole, faisant profil bas que pour faire preuve de politesse :


« Merci professeur et encore désolé »

Il avait un tempérament sanguin, surtout quand son entourage était concerné et ne savait le canaliser pour l’heure, mais les paroles de sa directrice de maison lui prouvait qu’il faudrait peut-être qu’il y songeât, un jour. Et en tous cas, en tant qu’aîné, il aurait été de sa responsabilité d’aller lui parler de la mésaventure survenue pour sa petite sœur plutôt que de l’encourager et l’aider dans sa vengeance. Mais, aveuglé par la colère, il avait agi de manière peu raisonnable et pas adulte du tout. Bon, à vrai dire, il n’était pas encore adulte… Et comme sa petite sœur, ce n’était ni la première fois ni sans doute la dernière qu’il se retrouverait en retenue pour défendre ses convictions ou pour défendre sa petite Sam.

« On n’a pas eu de chance, effectivement, mais j’aurais dû penser que c’était une éventualité… Et que si elle était sous sa forme de chat, elle n’aurait aucun mal à nous repérer sans que nous ne la voyions forcément. »

Léo fit un sourire amusé face à la réaction de sa petite sœur, content qu’elle fût satisfaite du résultat.

« Ça ne doit pas être si courant que cela les Gryffondors qui ont peur des retenues… »

Puis, il écouta Sam le remercier pour son soutien. Ebouriffant affectueusement ses cheveux et avec un doux sourire, il répondit :

« C’est normal petite sœur. Tu pourras toujours compter sur moi »

S’il était vrai qu’il lui arrivait bien souvent de montrer de l’agacement quand elle tentait de le suivre en tout et partout, il n’en avait pas moins de l’affection pour elle et se sentait le devoir de la protéger… D’autant que son instinct lui disait que ce n’était pas la dernière fois qu’elle s’attirerait des ennuis ni la dernière fois qu’elle en ferait voir de toutes les couleurs à ses professeurs. Sûrement demanderait-il à Beth de garder un œil sur la petite dernière et de lui envoyer des lettres si besoin lorsqu’il ne serait plus là. Car après tout, bientôt, il ne serait plus à Poudlard.

Puis, il proposa aux deux filles de les raccompagner où elles le souhaitaient, comme un grand-frère qu’il était et s’adapta à leur réponse.





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Léonardo O'Neill
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