Elvý Njállsdóttir | Amnesia

Elvý Njállsdóttir
FICHE DE PRÉSENTATION

IDENTITÉ PRÉNOM(s) & NOM : Elvý Njállsdóttir (se prononce : "Niaolsdeuttir"). DATE DE NAISSANCE & ÂGE : 21/12/1972 ▬ 23 ans. ANNÉE OU MÉTIER : Spécialiste en conception de baguettes magiques. A mis un terme à ses recherches suite à son amnésie et a été embauchée à K&W, Kingdom of the Spooky Pets grâce à Johann, ancien gérant de la boutique. ORIGINE/CRÉATURE : Sang-Mêlé. DONS & MALÉDICTIONS : / FAMILIER : Ríg, un botruc avec qui elle entretient un lien fort. Il lui a offert une de ses feuilles pour qu'elle puisse l'utiliser comme cœur de baguette avec le bois de l'arbre qu'il protégeait jusque là : un érable. Depuis, il n'est plus gardien de l'arbre, mais d'elle. CLUB(S) : / BAGUETTE : Bois d’érable - feuille de Botruc - 25.65cm. Une baguette fine à l'aspect sauvage, notamment dû aux rugosités de son bois et à la tige légèrement feuillue dans laquelle elle s'enroule. Elle crée une magie subtile et très reliée à la nature mais qui est peu puissante. Excelle toutefois dans les sorts de défense et peut créer des boucliers presque infranchissables. PATRONUS : Macareux moine → oiseau qui vit en mer et retourne sur les terres Islandaises pour se reproduire. Symbole de voyage et de liberté avec toutefois une attache toute particulière pour ses origines et sa terre familiale. ÉPOUVANTARD & RIDIKULUS : Une lame de couteau. Fine. Mais tranchante. Ensanglantée. Son sang. | Aucun Ridikulus pour le moment, elle ne connait pas encore cette nouvelle forme de son Épouvantard et quand elle le découvrira, il y a de fortes chances pour qu'elle reste impuissante face à lui. Vulnérable face à un traumatisme occulté.

HORS JEU PSEUDONYME : Malia / Jules / Aria la liste commence à devenir longue ÂGE IRL : 20 ans. AVATAR : Victoria Pedretti. COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? Vraiment ? MAISONS SOUHAITÉES: Pas d'études à Poudlard, pas de maison à attribuer ! AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ? flemme

QUI ES-TU ? 500 mots

A Different Kind of Human

Elvý, c'est le soleil de minuit des étés nordiques. Une lumière qui persiste dans la nuit. Un éclat qui nargue l'obscurité. Une lueur qui offre un crépuscule infini. Une vie qui ne s'éteint jamais. C'est la joie, les sourires, l'optimisme. La candeur d'une jeune femme qui voudrait ensoleiller l'entièreté de la Terre pour tout voir. Tout observer. Faire fuir l'ombre pour jouir de la chaleur du bonheur. Une simplicité rare, naïve, expansive, débordante. Des rires sans pudeur, des éclats de joie qui réchauffent le cœur. Un rayon qui parcourt l'horizon.

Elvý, c'est l'aurore boréale des hivers polaires. Un dégradé de couleurs mystique. Un arc-en-ciel nocturne. Un reflet lunaire. Une aura rêveuse. Une énigme qui flotte sous les étoiles. Un spectacle capturé par de grands yeux bleus. Un émerveillement constant face aux splendeurs de la nature. Une connexion avec les éléments ancrée au creux de son être. Une spiritualité bercée par le folklore de son pays et par le métissage des cultures moldue et sorcière. Un ciel méditatif porté par la foi des étoiles.

Elvý, c'est l'horizon verdoyant d'Islande. Des plaines à parcourir en courant. Un désert vert à emplir de ses cris. Des sources chaudes dans lesquelles plonger à pieds joints. Du vent à parsemer de ses émotions vibrantes, fougueuses, bruyantes. Une vie à croquer à pleine dent. Une détermination à gravir des sommets. L'authenticité d'un rayon qui s'assume autant solaire que lunaire. Qui accepte les rires et les pleurs. Le calme et la colère. Qui vit au rythme de ses envies. Une herbe que l'on foule pieds nus.

Elvý, c'est un oiseau des Fjords de l'Ouest. Des ailes qui se déploient face au vent. Une âme qui parcoure les mers. Un esprit sauvage qui veut goûter à la saveur des terres inconnues. Une sorcière baroudeuse qui a toujours rêvé de voir au-delà de son île. Une exploratrice qui saisit sa chance sans regarder en arrière. Prête à tout abandonner. Une recherche d'indépendance l'arrachant à ceux qui l'aiment. Une soif de découverte qui rompt chacun des liens qui la retiennent. Un individualisme trop souvent reproché. Une insouciance aveuglante. Une falaise escarpée à gravir les yeux bandés.

Elvý, c'est un volcan silencieux des mers boréales. Une menace tapis dans une foyer inoffensif. Un relief imprévisible. Des entrailles en fusion. Une éruption qui naît des excès. L'alcool qui se répand en des coulées de lave. La fumée d'un joint qui enveloppe les cieux de son nuage noir. La poudre qui réenclenche l'explosion. Des limites invisibles aux yeux d'une jeunesse enivrée. Des débordements qui provoquent la vie avec amusement. Un gouffre qui l'aspire sans cesse. Un mince filet de lumière qui persiste à lui indiquer la porte de sortie. Un jeu sans fin.

Le soleil de minuit. Un enthousiasme débordant de lumière. L'aurore boréale. L'aura rêveuse d'une âme spirituelle. L'horizon. La sincérité d'un vent d'émotions vibrantes. Un oiseau. La liberté volée d'une exploratrice née. Un volcan. L'imprévisibilité des excès incontrôlés.

Elvý Njállsdóttir, c'est tout ça à la fois.


IL ÉTAIT UNE FOIS... 750 mots

It Happened Quiet

Jour 1 :

Des nuages. Énormes. Gigantesques. L'un d'un blanc laineux, l'autre d'un noir de jais. Un mouton et un corbeau qui dansent ensemble dans le ciel. Entre eux, une giclée de flamme. Grande ! Étincelante ! Un spectacle grandiose. Mais la scène tangue. Suis-je sur un bateau ? Les flammes retombent. Encore et encore. Elles pleuvent sur cette lointaine maison. Et sur les milliers d'autres. La lave roule et mange la terre, se nourrit des fleurs. Tout est rouge, noir et blanc. C'est éblouissant. Mère Nature, sauvage, indomptable, époustouflante, toute-puissante, a décidé de réveiller mon île de l'Ouest. Adieu Heimaey.

Quand Elvý reprit conscience, la douleur insoutenable la projeta avec violence dans la réalité. La table sur laquelle reposait sa joue était froide. Mais le liquide qui coulait de son dos, lui, était chaud. Un contraste désagréable. Glaçant. Brûlant. La fièvre. L'épuisement. La peur.

Un frisson remonta le long de sa colonne vertébrale quand elle entendit un bruit sourd. Réveillant un peu plus la douleur. Les sueurs froides se mélangèrent au sang. Elle était incapable de bouger. Était-ce à cause des liens qui lui entravaient chevilles et poignets ou bien à cause de la peur ? Tétanisée. Elle aurait voulu se rendormir. Oublier. Tout effacer. Se réveiller et ne plus jamais se souvenir. Dans un autre monde. Revenir à ses terres natales.

~

Comment s'était-elle retrouvée là ? A avancer dans cette rue noire. Nue. Impuissante. Sanglante. Tout était allé vite. Trop vite. Rien que le temps d'apercevoir une faible lueur. Un feu follet. Il fallait fuir. Courir. Elle n'avait plus de forces. Mais il fallait fuir.

Une silhouette au loin. Non. Non. Nei. Pas encore. Pitié. Pitié. Vorkun.

- Vorkun ! cria-t-elle dans sa langue natale, en pleurs.


Jour 3 :

Des ondulations. Vertes, roses, nuancées. Dansant dans un ciel étoilé. Regarde pabbi, elles nous enveloppent, toi et moi. Pabbi, est-ce bien toi ? Regarde, pabbi, regarde. Montre-moi. Apprends-moi. Tout ce que tu sais. Les astres, c'est ton domaine. Ta magie. Tu es comme eux, ceux qu'on appelle sorciers. Comme mama, comme moi. Sauf que toi, tu ne tiens pas de baguette, tu ne discutes pas avec les Huldufólk. Toi, c'est un télescope que tu tiens et c'est avec les étoiles que tu parles. Regarde, pabbi, regarde. Bientôt le soleil va se lever. Bientôt ce sera l'été. Bientôt, Norðurljós va nous échapper.

Elle gémit. Emprisonnée dans son sommeil. Bercée par de doux rêves. Réveillée par une pâle lumière. Le jour ? Faisait-il jour ? Elle ouvrit ses paupières de quelques millimètres. Éblouie. La douleur était toujours là, mais la lumière était douce. Où était-elle ? La panique commença à l'agiter. Elle voulut se relever mais de cruels tiraillements dans son dos l'assommèrent. Une main se posa doucement sur sa joue. Chaude, rassurante. Pabbi ?  

- Bois.

Elle obéit à la voix grave. Et le sommeil, dilué, s'infiltra à nouveau dans ses veines.


Jour 6 :

Des silhouettes. Petites et sautillantes. Chantantes. Ils ont l'air joyeux, à faire ainsi la ronde. J'ai de la chance de les voir. Pabbi, lui, ne le peut pas. Mama et moi si. Nous sommes les médiums des Fjords de l'Ouest. Vestfirðir. J'ai envie de danser avec eux. Viens, mama, viens. Amusons-nous ! La nature est belle. La nature est forte. La nature est vivante. Elle nous parle et on danse avec elle. Avec eux, ses messagers. Huldufólk, le peuple caché. Viens, mama, viens. Leur magie est la nôtre. Notre magie est la leur. Nous ne sommes qu'un.

Les rayons du jour, à nouveau. La douleur s'était à présent dissipée. Lointaine. Rien qu'un léger mal brumeux. Elvý ouvrit les yeux.

Où était-elle ? Qui était la femme blonde à son chevet ? Mama ?

Un sourire doux. Mais pas celui de mama. Elvý, allongée sur le ventre, se redressa lentement. Pourquoi ses muscles étaient-ils si raides ? C'était comme si elle se réveillait d'un sommeil éternel. Elle s'assit sur le bord du lit. A qui étaient les habits qu'elle portait ?

Ses yeux fatigués détaillèrent la pièce. Le silence d'une bulle. Le flottement d'un rêve. Où était-elle ?

- Comment te sens-tu ? questionna la blonde.

Ses iris bleutés se posèrent sur la silhouette de l'étrangère. Ses cheveux de blé renvoyaient les reflets du soleil. Elle était belle. Qui était-elle ?

- Je m'appelle Angelica, dit-elle doucement en réponse au regard muet d'Elvý.

- Moi, c'est Elvý... Elvý Njállsdóttir...

Sa voix, un peu éraillée, flotta. Laissant derrière elle un vide vertigineux. Elle s'appelait Elvý Njállsdóttir. Et c'était tout ce dont elle se souvenait.

- Tu vas un peu mieux ? réessaya la blonde en lui tendant une tasse fumante.

Elvý but une gorgée. Du thé. Elle se brûla le palais, fit une légère grimace. Elle posa la tasse sur ses genoux, l'enroulant de ses mains pour profiter de sa chaleur au creux de ses paumes. Elle releva la tête. Elle avait beaucoup de questions. Plein de questions. Une infinité de questions. De toutes celles qui pourraient combler le vide qu'elle ressentait. Elle ne sut pas par où commencer. Elle bredouilla d'une voix agitée :

- Où... Qui... Qu'est-ce que je fais ici ? Pourquoi ? Pourq-

Sa voix se brisa.

- Pourquoi je ne me souviens de rien ?


Jour 11 :

Des oiseaux. Par centaines autour de moi. Survolant une verdure infinie pour rejoindre la mer. Et moi, ce sont eux que je veux rejoindre. Battre des ailes, prendre mon envol, planer. Le vent qui fait voltiger mes mèches brunes me portera. Je serais légère, comme lui. Comme eux, les macareux moines. Mais n'est-ce pas déjà le cas ? Ce rêve immense de liberté qui sommeille en moi, n'est-il pas déjà en train de me porter ? D'irradier si fort avec le soleil de minuit qu'il me crée des ailes ? Mais, oui, je m'envole ! Avec la légèreté d'une plume, voilà que je m'en vais au vent.

Le duvet dans lequel Elvý se réveilla lui caressait la peau avec douceur. Mais le lit était trop grand. La maison aussi. Grande et vide. Et la solitude, soudain, l'étreignit. Poids angoissant qui lui compressait la poitrine.

Johann lui avait donné les clés la veille puis était reparti. Il reviendrait. Mais en attendant,  Elvý se sentait seule. Peut-être qu'elle aurait préféré rester chez lui, au final. Même s'il n'était pas tout le temps là. Son parfum qui embaumait l'endroit où il vivait la rassurait. Ici, ça sentait le neuf. Et la poussière. Paradoxal mélange qui faisait s'entremêler le sentiment de renouveau à celui d'abandon.

Elle soupira, s'extirpa des draps et s'approcha de la fenêtre. Elle observa les quelques maisons au loin. Pré-au-Lard. Quand Angelica avait prononcé le nom de ce village sorcier, il lui avait parût vaguement familier. C'était sûrement là, qu'elle avait envisagé de se rendre avant son accident.

Elle chassa ces réflexions de son esprit. Elle ne voulait pas essayer de se souvenir. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle était Islandaise, qu'elle était né le 21 décembre 1973, qu'elle était une sorcière et qu'elle avait beaucoup voyagé avec son Botruc, nommé Ríg, comme compagnon de route. Dans son esprit, il y avait des bribes de souvenirs, des images, mais surtout, il y avait de la brume. Pas assez d'éléments tangibles pour reconstituer le puzzle. Et la tache semblait si grande, si insurmontable, qu'elle préférait ne pas y penser. Pour chasser, aussi, la douloureuse idée qu'elle avait sûrement des proches quelque part mais qu'ils avaient tous été banni de sa mémoire.

Un nouveau départ. Voilà, ce à quoi elle devait penser. Ce soir, elle sortirait. Elle ferait faux-bond à la solitude, aux angoisses, aux questions, aux songes dont elle ne se souvenait jamais au réveil. Ce soir, elle sortirait. Ce soir, elle oublierait.


Jour 18 :

Un arbre. Grand et noble. Un érable. L'arbre solitaire au pied de la montagne. Depuis combien de temps suis-je là ? L'endroit est beau et calme. Mais bientôt je partirais. A nouveau. Une âme voyageuse ne reste jamais longtemps dans un même endroit. Même quand elle trouve des trésors comme celui-là. Cet arbre me parle, je le sais. La main posée sur son écorce, je sens la vie qui la traverse. Ses gardiens évoluent paisiblement autour de moi, me surveillent. Ils savent ce que je veux, ils lisent en moi. Mon cœur s'est ouvert à la sérénité de cette vallée. Il n'y a pas beaucoup d'arbre là d'où je viens. Je suis partie à leur recherche. A la découverte de leur bois, de leurs propriétés. De leur magie unique, de leur vie sacrée. Je veux les comprendre, les sentir vibrer sous mes paumes. Une petite silhouette verdâtre s'approche. Le botruc détache une feuille de son corps de brindilles et me la tend. La promesse d'un vent nouveau. D'un lien indéfectible.

Réveil comateux. Sa tête lui faisait mal. Le monde tanguait encore un peu. Le sol n'était pas stable. Elle se releva péniblement au milieu des misérables corps échoués au sol. Elle chercha sa veste. Trouvée. Elle s'installa en tailleur devant la table basse et fouilla ses poches. Poudre ou fumette ? Une voix, au loin. Mais proche d'elle. Un type la rejoignit. Darnell ? Peu importait. Poudre ou fumette ? Il rit, elle aussi. Poudre.  

Un nouveau voyage. Cosmique. A  l'intérieur de son corps. Une âme voyageuse ne restait jamais longtemps au même endroit.

Jour 23 :

Une lame. Fine mais menaçante. Impitoyable. Je la sens courir dans mon dos. Cruelle. Est-ce l'écho de mes cris qui me vrille les tympans ? Sont-ce mes supplications qui résonnent ainsi et tapent contre les murs, contre les meubles, contre le silence, contre mon corps meurtri ? Sur ma peau, je sens cette œuvre morbide qui s'enracine. Les branches qui grimpent jusqu'à mes omoplates. Les feuilles qui poussent, qui tombent, qui meurent. Les bourgeons qui montrent leurs pétales rouges. Yggdrasil. Tatouage sanglant. Oeuvre inachevée.

Elvý se réveilla en sueurs. Un cauchemar, encore. Elle entendait les cris. Ses cris ? Mais elle ne se souvenait de rien d'autre. Aucune image. Aucune sensation. Rien que des cris. Ríg redressa le tête du petit arbuste sur lequel il était. Le botruc sentait l'agitation de l'humaine à laquelle il avait décidé de se lier. Sa nouvelle chose à protéger. Tel un arbre itinérant.

L'Islandaise quitta son lit trop grand, trop vide, et rejoignit la salle de bain. Elle se déshabilla, ouvrit la paroi de douche. Et s'arrêta. Elle tourna la tête pour tenter un regard derrière elle. Le pâle reflet du miroir lui révéla une fois de plus l'énigme tracée sur son corps. Ses bras, hésitants, enroulèrent son corps et ses doigts, tremblants, glissèrent sur les reliefs de ses épaules. Les cicatrices de l'accident.

Angelica lui avait raconté ce qui s'était passé : elle avait subi les attaques d'une créature. Un Loup-Garou, probablement. La blonde était tombée sur elle à temps. Pas assez pour lui éviter les griffures dans son dos, ni le traumatisme crânien qui avait provoqué son amnésie, mais assez pour l'enlever aux bras de la mort. Un ange auréolé de mystère.

Mais comment imaginer que la nature l'ait abandonné aux griffes d'une créature déchaînée ? Que sa baguette n'ait pas réussi à contrer l'attaque, elle qui était d'une puissance insoupçonnée pour créer un bouclier ? Ses doutes hantaient son esprit. Pourtant, elle se cramponnait à cette vérité. La seule qu'on lui ait offerte. Pourquoi lui aurait-on menti ?

Elvý mis fin à la contemplation méditative de ses stigmates. C'était sûrement mieux si elle ne se rappelait pas. Elle entra dans la douche et laissa l'eau bouillante ruisseler sur sa peau abîmée, emportant avec elle ses pensées tortueuses. Pour oublier. Encore. Toujours. Un peu plus. Minnistap, berce moi.

Indications concernant les termes islandais :

Toi comme moi, nous savons tous deux qu'il y a tant à dire de la mythologie avec laquelle tu as grandi, qui n'en est pas tant une que le passé sorcier de là d'où tu viens... Dommage que tu ne t'en souviennes pas pour l'instant.

Bienvenue à toi étrangère...

Bienvenue à toi, nouveau membre de Veritaserum !

Nous avons le plaisir de te compter parmi nos membres à partir d'aujourd'hui. Pour te permettre de commencer ton aventure dans les meilleures conditions possibles, nous avons rassemblé quelques indicateurs qui te seront sûrement utiles. Tu trouveras ainsi une liste de liens à suivre avec quelques précisions ci-dessous.

• En premier lieu, nous t'invitons à venir recenser ton personnage dans les bottins suivant : Bottin des prénoms & noms et Bottin des avatars.
• En second lieu, nous t'invitons à venir recenser les deux meilleurs amis de ton personnage dans les registres adéquats : Registre des baguettes et Patronus des sorciers.
• En troisième, nous t'invitons, si ton personnage est un sang-pur, possède un don ou est une créature, de venir le recenser dans les registres adéquats : Registre des sang-purs et Registre des pouvoirs et créatures jouables.
• En quatrième, dépendant de si tu es un adulte travaillant à Poudlard ou en dehors, ou un élève faisant parti d'un club, nous t'invitons à lire et recenser ton personnage dans la bonne section : Vie à Poudlard & Règlement de l'école et Lois magiques & Postes des citoyens.
• Enfin, si tu souhaites que ton personnage rejoigne l'Ordre du Phénix, les Mangemorts ou L'OEil, nous t'invitons à lire ce sujet.

Après cela, nous t'invitons à poster ton Journal dans cette section pour y répertorier tous tes futurs RPs. Tu trouveras ici la section pour en demander de nouveaux. Enfin, découlant sûrement de ces derniers, tu trouveras ici la section où poster la fiche relationnelle de ton personnage, à alimenter autant que tu le voudras !

Tu peux maintenant pleinement profiter de l'aventure Veritaserum ! Régale-toi !